Journal de Glead

La grande aventure

Chapitre 1: Naissance

Des feuilles tournais autours de moi, mon esprit était perturbé, je ne savais pas se qui passait. Je cherchais qui j'étais, mais la réponse ne me venait pas.
J'avançais vers un personnage tous de brun vêtu. Cette étrange personnage se nommait Damis. Il ne semblait pas surpris de me voir. Je le regardais étonné.
Son visage se fendit d'un large sourire. Damis me donna une dague puis me demanda d'aller chercher des potions chez Gertrude. Je m'exécutais sans comprendre. Je lui ramenais des potions comme il me l'avais demandé, il me gratifia et bu d'un coût sec toute la mixture rouge.
Son visage raillonna d'un jeunesse nouvelle, il lâcha ses mots:

-Merci beaucoup jeune aventurier, je crois que mon enseignement va t'être utile, part chasser des champignons avec la dague que je t'es donner et ramène moi quelques cadavres!

Je partis dons à la recherche des ses champignons qu'il me demandait de chasser. La surprise fut réel quand je vis pour la première fois, après plusieurs heures de recherche, un groupe de champignons! Ils avaient les dents pointues, et le regard insoutenable. Je ne devais pas les laisser filer! Je pris mon courage et ma dague à demain et sautais au milieu du groupe de monstre, je levais ma dague et l'écrasais sur la tête des champignons. Le combat fut brutale, les blessures légères mais je restais étonné devant les petites bêtes sans vie qui gisaient à mes pieds. La nuit allait tomber et je voulais ramener mes trophées à Damis avant le coucher. Je courrais au travers des près et le retrouvais enfin.
Je lui donnais les chapeaux de champignons et il me dit:

-Tu t'es donner beaucoup de mal pour me ramener ses chapeaux, tu es surement près pour le monde d'Alidhan. Part au sud et tu trouveras mon ami Abraxar, dis lui que je t'envoie, il te laissera bien passer. Au revoir jeune aventurier !

J'écoutais Damis, mais un mot me laissais craintif : « le monde d'Alidhan! »
Je lui demandais donc de me renseigner. Il me narra l'histoire de ses contrées. Il me détailla toutes les grandes batailles opposant les Exilers, les Cartelois et les Royaliste.
Ä la fin de son récit, il était déjà tard dans la nuit. Je décidais de me trouver un coin pour dormir. La nuit fut courte, je repensais aux paroles de Damis. Au matin je partit pour Alidhan !

Chapitre 2: Un chois difficile

Après une petite journée de marche j'arrivais enfin au porte d'Alidhan. Un personnage en armure cuivrée, me regardait avec mépris. Je m'approchais pour m'annoncer.

-Je suis Glead, votre ami Damis ma conseiller de me rendre sur les terre d'alidhan.
-Glead dis-tu ? N'es tu pas un peut jeune pour fouler les terres dévastées d'Alidhan ? Sais-tu au moins sous quel étendard veux-tu combattre ? Reviens quand tu sera prêt !

Je retournais sur mes pas. Je m'adossais à un jeune arbre en bordure de chemin pour réfléchir. Je devais prendre d'importantes décision aujourd'hui. Rejoindre les Royalistes, les Cartelois ou encore les Exliés ?
Partir pour aller voir les Royalistes, non, je ne pourrais aimer Kaldrass. Ce roi qui avait pris le trône par des moyens déshonorants.
Rejoindre le peuple Exiler dans leurs cité de Fuisserage. Ce peuple avide de vengeance, trop peut pour moi !
Je décidais de partir pour le Cartel de Brumebois, où Zelandra avais établit une communauté fort bien organisée et refusant toute autorité.

Je m'élançais vers le garde qui stoppa sèchement mon entrain par quelques questions. Finalement il me dirigea vers le Nord, là où résidait les Cartelois.
Je désirais rejoindre les contrée du nord avant la fin de la journée, le soleil commençais à décliner, je devais me rendre à l'évidence: Il y avait encore du chemin. Je voulais quitter la route pour un endroit tranquille mais j'aperçus un panneau où il était écrit « Auberge Carteloise » je pressais le pas et espérais que toutes les chambres n'avaient trouvé dormeurs. Ma crainte fut passé quand l'aubergiste m'indiqua le numéro de ma chambre. Je montais un escalier pour enfin déboucher sur ma chambre. J'ouvris la porte et me retrouvais dans une chambre à la chaleur accueillante.

Chapitre 3: Découverte des contrées verdoyantes

Au levé, mes articulations me faisais souffrir, mais je me levais quand même. Je descendis voir l'aubergiste pour payer ma nuitée. Il me demanda gentiment 20 po que je réussit à lui donner. Damis m'en avait fait don. Une fois à l'extérieur, je n'eu qu'une idée: arriver à Syrosh dans les plus bref délais.

La faim me tiraillait, je m'assis sur un caillou plat en bordure d'un lac. Les gens du coin l'appelaient l'étang de ceth. L'air était frais dans ce sous bois, je me trempais les pieds pour refroidir les ampoules. Atours de moi je voyais passer un multitude de personne en habit vert qui me dévisageait. Je me demandais se que j'avais fait, mais la réponse ne me venait pas.

Après avoir séché mes petits pieds au soleil, je reparti pour la capitale carteloise. Au milieu du chemin un imposant garde en armure me bloquait la route. Dans ses mains: une immense épée et un bouclier qui touchait le sol. Sur ce bouclier était incrusté une crois en émeraude.

Je m'adressais au gardien:

-Bonjours, je m'appelle Glead et je viens d'arriver sur les terre d'Alidhan. Je désire m'entretenir avec votre majesté Zelandra.
-Tu veux parler à notre chef ?! Il te faudra faire tes preuves avant d'avoir l'honneur de la rencontré. Rentres dans Syrosh et demandes des petits boulots au habitant. Et reviens me voir quand tu pensera être prêt.

Le garde se poussa et je pus entrer dans la capitale. Cette ville était très belle. Les chaumières construites en bois donnais à ses lieux un coté sauvage. L'animation ne manquait pas dans c'est ruelle. Les Marchands vantaient leurs produits, les paysans acheminaient leur récolte dans des granges... la paix régnait en maitre.

Chapitre 4: Premiers contactes


Je me trouvais pris dans le courant de la foule qui me déposa chez un homme étrange vantant ses produits. Je m'approchais et compris que ce n'étais pas qu'un simple vendeur. Il apprenait à utiliser des armes. Il me lança:

-Et toi! N'a tu pas peur de te promener sans arme par ses temps de guerre? Je peux t'apprendre à te servir d'un arc d'une épée... Reviens vite me voir quand tu auras acheté de quoi te défendre.

Le vendeur d'arme se situait dans la plus grande maison de la rue, j'entrais. Il me présenta tous un attirail. Il ventait tous ses produits d'une telle manière que je ne savais pas quoi choisir. Je me décidais, j'achetai un petit arc. Je retournais vers l'instructeur.

-Voilà, j'ai été acheter une arme. Je désire commencer votre entrainement.
-Ah! Voilà quelqu'un qui me fait confiance!

Il prit mon arc dans ses larges mains et me montra les bases. En échange il me demanda quelques po que je lui donnais sans rechigner. Je le remerciais et partais à la chasse.

Chapitre 5: Triste réalité


Je sortais de la capitale content de mes achats. Très vite, j'aperçus des monstres qui déambulaient dans la forêt. Je pris mon arc et mon courage à deux mains, encochais une première flèche et tirais. Elle siffla puis termina sa course dans le tronc d'un vieille arbre, des oiseaux s'envolèrent en criant. Les monstres que je voulais chasser m'avaient vu. Ils s'approchaient de plus en plus de moi. Je reculais, mon cœur battait à tous rompre. Un arbre se planta derrière moi, les créatures arrivaient telle une vague inévitable. Je fermais les yeux, sentant ma dernière heure arrivée.

Je m'attendait à recevoir une pluie de coups, mais rien. Seul des sifflements et des cris d'agonie me touchaient. Je rouvris les yeux. Les monstre baignaient dans leur sang. Les cadavres était transpercés par des flèches. Je me retournais pour voir qui m'avais aidé.

Une femme passait son chemin, un arc sur l'épaule. Je la rattrapais pour la remercier. En arrivant à sa hauteur, elle me dévisagea en continuant sa marche. Je bredouillais encore sous le choc:

-Merci !
-Avec plaisir,mais ne t'aventure pas dans la forêt avec ta vulgaire maitrise de l'arc. Rentre à Syrosh... Et entraine toi !

Et elle continua son chemin en rigolant. Je comprenait alors que je n'était qu'un médiocre archer. Je me jurais de progresser et de ne plus dépendre des autres !

Chapitre 6: Entrainement

Arrivé à l'entrée de Syrosh, je m'approchais du garde. Je lui dis:

-J'ai un problème et je crois que vous pouvez m'aider. Je veux devenir plus fort! Que me conseillez vous ?
-Devenir plus fort dis tu ?! Va parler aux habitants, il te donnerons des tâches contre quelques pièce.

Il rigolait en me regardant partir. Une fois u centre ville je n'eus pas de peine à trouver une villageois en difficulté. Une jeune femme pleurait dans le coin d'une ruelle, je m'approchais et me présentais. Tout en pleurant elle m'expliqua quel n'avait pas assez d'argent pour engager un chasseur pour exterminer les chenilles qui dévoraient ses cultures. Je lui souris et lui demanda ou étaient ses chenilles. Elle m'expliqua que son champs se trouvais au fin fond de Syrosh.

Avant de partir, je devais me préparer pour ne pas encore essuyer un échec. Je me dirigeais donc vers le marcher ou je trouvais se que je recherchais: quelques potions. Après avoir déposé les petites fiole dans mon sac je partis.

Sur le chemin, je m'entrainais à viser les arbre de mes flèches. Plus je me rapprochais, plus elles étaient précises et rapides. Je sentait brûler en moi une confiance qui me réconforta.

Chapitre 7: Chenilles

Arrivé au champs, la scène que je vis me fit comprendre que la fille ne pleurait pas pour rien, les chenilles dévoraient tous se qu'elles touchaient. Le jardin était plutôt grand, mais il ne restait rien! Je sortit mon arc, ma flèche couru vers une première chenille et la traversa. Un cris sortit de l'animal agonisant, cela eu pour effet de rameuter la colonie de mollusques. Les larves étaient à quelques mètres de moi, elles étaient trop!

Je reculais légèrement, mes mains tremblait, mais le courage apaisa les spasmes. La promesse que je m'étais faite était bien là, je devais me débrouiller seul!

Les flèches s'encochaient une après l'autre les cibles s'écroulaient, mais l'ennemi revenait toujours! Mon carquois se vidait et la vague de chenille ne faiblissait pas. Je reculais encore, ma tête me bombardait des idée de fuite, au milieu de cela une image m'apparus!

Chapitre 8: Flèches de Feu

L'image devint plus net, une flèche enflammée! Mais ou trouver du feu? La situation se dégradait, je devais faire vite.

Mes yeux cherchaient de l'aide, mais j'étais seul, cette fois personne ne viendrait m'aider. Je pensais me retourner et courir, mais je ne voulais pas renoncer si près du but. Mon sac contenait des allumettes, ma main plongea dans le petit matérielle et sortit la boite.

La première allumette gratta l'allume feu, et se brisa. La seconde fut la bonne, l'allumette s'embrassa et je pus essaiment mettre feux à mes flèches. Dès le premier tire, les chenilles furent pris de panique, le feu se répandait autour d'elle.

Elles se dispersèrent rapidement, le champs retrouva son calme. Je me laissait tomber sur le sol , ouvris une fiole que j'avais emmené et la vidais d'un trait. Je pris avec moi quelques cadavre pour montrer à la propriétaire que les chenilles étaient mortes.

Chapitre 9: Rencontre


Le soleil déclinait rapidement, je pressais le pas pour arriver à la taverne avant la nuit. Les fenêtre de l'auberge brillaient encore, j'ouvris la porte et me retrouvais au beau milieu d'ivrognes. Je m'assis au bard et commandais ma boisson favorite: une liqueur de chamalla.

Le tavernier me servis, je déposais quelques pièces dans sa largue main. La personne assise a coté de moi me regardait, je voyais sur son vissage qu'il voulais me questionner. Je le saluais pour engager la conversation:

-Bonjours !
-Bonsoir, je voit que tu es couvert d'égratignure, qui t'a fais ça ?

Je lui racontais comment j'avais fait fuir les mollusques. Il me regardait avec émerveillement, car lui aussi était un jeune aventurier.
La taverne se vidait mais se personnage que je commençais à connaître ne s'arrêtait pas de parler, les questions sortaient de sa bouche, il avait tellement de couture que je devait me concentrer pour ne rien manquer des ses paroles. Après un moment je me suis demander qui il était:

-Et toi qui est tu ?
-Je suis Melior, un éleveur de la région.

Je restais sidéré. Melior un simple éleveur de vaches ?

Chapitre 10: projet

Le tavernier nous servit une dernier vers. Nos chambres nous attendaient.

Au matin, je rentrais dans la chambre de Melior. Il était déjà parti. Je payais ma chambre et retournait en direction du centre ville de Syrosh. La jeune fille devait surement être morte d'inquiétude ne me voyant point revenir.

Je l'aperçu au coin du ruelle, elle était dépitée. Je sortais de mon sac mes trophée de chasse et lui les lançait à ses pieds, la jeune fille emis un cris de surprise et releva la tête. Sons visage ruisselant de larme se fendit d'un mince sourire.

Elle se leva et me sauta dans mes bras en me serrant. Le souffle coupé par le choc, je repensais au combat, la fierté m'envahis. Finalement elle me lâcha et me remercia en me donnant quelques fruit issu de la récole passée.

Chapitre 11: souhait

Au soir, je me dirigeais vers la taverne dans l'attente de revoir Melior, cet aitre si mystérieux.

Il était accouder au bar, une chope de cervoise pendait à ça main. Je m'approchais et commandait a boire.

Je lui posais cette question:
- Veux tu faire route avec moi ?
Un sourire nargueur sortit des ses lèvres.
-Tu seras bien obligé de trouver quelqu'un pour t'aider, tu as l'air si perdu... Je vais te parler d'un rêve, un guilde, une ombre de réconfort, la feuille des arbres de notre pays, l'utopie de la puissance, la paix sur nos terre!

Je ne comprenais pas le sens de ses paroles. Je lui demandais des explications!
Tu rêve d'un avenir meilleur pour notre descendance ?
Oui, on peut dire ça, mais la guerre ne finira pas aussi vite!
Peut-être, mais il faudra bien agir pour finir se bain de sang...
Fini ton vers, nous partons!

Je tirais cul sec ma bière et suivis Melior. Il sortit de la taverne et bifurqua dans le bois.

Chapitre 12 : Départ vers ?!

Les mois avaient passé, mes idées évoluées, je ne pouvais rester plus longtemps chez moi... Oui, les Ombres de la feuille étaient avant tous ma maison! Mais une guilde bien trop passive pour mes ambitions.
Je devais me décider: revoir mes pensées où partir. La force, je n'en avais si peux, mais le courage je le sentais. Dans un cœur si plein, remplis d'une haine murissante de jour en jour, de seconde en seconde. Même si je me demandais souvent se qui l'alimentait je devais suivre ma voie, avoir des objectifs et les réaliser!

Pendant la nuit je préparais mes affaires et vidais ma chambre. Je descendais dans la salle à manger et laissais c'est mots sur un parchemin,


Mes chères amis,

Aujourd'hui je m'en vais, je m'en vais vers mon avenir.

J'espère que vous pourrez comprendre que je n'ai plus ma place ici, j'ai trop donner pour peut, trop peu pour avoir le courage de continuer...

Bien sûr je ne vous oublierais pas, jamais!

Meilleures salutations,
Glead


Je sortais un couteau d'une de mes poches et écrivais c'est mot sur la table en bois massif « Glead, Cartelois et Libre »

Je plantais la lame dans la fine feuille de papier et partais

Chapitre 13: Souvenir d'un ambassadeur

Gentiment, mais tous les jours, je perdais courage. Je ne comprenais même plus mes chois.
Je devais trouver une nouvelle guilde pour pouvoir continuer sur le chemin qui m'était tracé. Mais des guildes ils y en avait, et c'était peut dire...
Mes nuits je les passais a rêver, mes journées je les passais à m'entrainer, attendant un signe. Un signe qui me montrerais la voie!

Après quelques jours d'entrainement je décidais faire une petite pause et d'aller prévenir la guilde ou j'étais ambassadeur que j'étais partis.

Arrivé devant l'imposant manoir des Vindicatrices, là où pendaient d'immenses toiles d'un teint rosé qui flottait librement dans l'air. Un mot retenu mon attentions, « librement » ! Je passais la porte et déboulais dans un couloir,la fraîcheur me réveillais. Je partais directement en direction de la salle des ambassadeur et fut aussitôt accueilli comme à mon habitude.

Les imposants chevaliers a qui je vouais un immense respect trônait derrière des montagnes de paperasses. Le regard fier et posé sur l'assemblée constante de guerriers plus renommer les un que les autres. Je me demandais, chaque fois que je posais les pieds dans se lieu, si tous le monde avait vraiment sa place ici... Et après quelques visite la réponse avait été trouvée, oui! Les dirigeant avec leurs plans de bataille et aussi et assurément les nouvelles guildes motivée à passer des alliances. Et c'était avec le statut d'ambassadeur de cette dernière que j'étais venu et que l'on m'avais accepté malgré notre faible force de frape!

Chapitre 14: Chevaliers
(les mots écris en rouge sont de Sylya)

Je m'avançais et parlais à l'impressionnante Sylya qui me reconnu aussitôt. Je lui expliquais mon départ dans les grandes lignes, elle écoutait et enregistrait tous les détails. C'est alors qu'elle fis se qui m'étonnais encore aujourd'hui! Elle se leva et elle me demandais de la suivre, craintif d'avoir fait une erreur je la suivais silencieusement. Tous le monde me regardait, mais personne ne me connaissait. Je pris conscience que j'étais un inconnu au yeux de tous!

Elle entra dans une pièce que je connaissais... la taverne de leur manoir. Elle parti vers le bar et ramenais deux vers rempli d'alcool. Sylya me tendi un vers:

- Tiens mon cher ami. Ton long chemin à du te donnais grand soif.

Je trinquais avec ce jeune archer, je m'étais attacher à lui depuis le temps qu'il venait nous rendre visite.

-Je te sens soucieux. tu veux que l'on en parle mon ami ? As tu besoin de conseil ? Tu sais que je suis là ainsi que tout les miens.

Je le regardais avec insistance...

- J'ai beaucoup d'objectifs, mais j'ai l'impression de mettre comporter en traitre en vers mes anciens compagnons... Je ne sais pas se que sera leur réaction quand ils me reverront... Et je suis si perdu, je ne sais pas ou aller!

[color=red]-Tes vrai amis comprendront que tu fais comme il le faut pour ton bien. Si tu as besoin de te mettre à l'écart et de réfléchir, nous t'accueillons ici avec plaisir.

Je regardais Sylya qui me souriait, es-que je devais accepter son invitation et passer quelques jours avec eu où refuser pour ne pas montrer mes faiblesses... Avant même d'avoir répondu, elle reprit la parole:

- Je te sens troubler, tu as besoin de repos.

Je repris le verre, déposa une bise sur la joue du grand jeune homme,l'entrainant vers une chambre.

- Tu dois maintenant faire le vide, regarder vers l'avant, tu dois voir ce sur le long terme. Que feras tu demain. Repose toi. réfléchi et demain on se reparle à tête reposée.

Je rougis légèrement et laissait partir Sylya, avant de la voir disparaitre au contour d'un couloir je lui criais:

- Merci !

Je me tournais et fondis en larme, je ne comprenais plus!

Chapitre 15: Nuit agitée

Après m'être calmé, je me couchais sur le lit qui me porta grand réconfort. Je commençais a réfléchir, je me demandais pourquoi Sylya avait pris pitié de moi? Mais je me convaincu qu'elle m'avait aider par amitié. Je ne l'avais pas vraiment senti en venant ici au temps ou je cherchais alliance, mais aujourd'hui, c'était une certitude. Je la respectais autant que mes amis!
Mes yeux brillaient, les seules paroles de Sylya m'avait éclairé d'avantage que le soleil à midi. Se que je voulais, c'était rejoindre les Vindicatrices et défendre ce genre de valeurs, progresser et montrer à tous qui j'étais!

Je fermais gentiment les yeux, l'obscurité m'engloutis.
Après des heures passées à dormir, je me réveillais enfin. Pendant mon sommeil, quelqu'un avait déposé une bassine d'eau fraîche sur la petite table de la chambre. Je m'en aspergeais le visage pour me réveiller et sortait de la chambre à la recherche de Sylya... Je me précipitais dans le bureau des ambassades mais il n'y avait personne. En passant devant une fenêtre, je vis qu'il était déjà midi, le soleil était déjà bien haut. Par déduction je compris que Sylya devait être en train de manger avec ses coéquipiers.
Je repartis vers ma chambre pour patienter et ne pas la déranger pendant son repas

Chapitre 16: Ma voie
(les mots écris en rouge sont de Sylya)

Après un longue demi-heure, je me décidais à me remettre à la recherche de mon amie. Mon sac sur l'épaule, Je partais directement en direction de l'ambassade quand une voix étrangement familière m'interpella:

- Tu t'en va déjà ?

Un petit rire moqueur sortis des lèvre de cette belle jeune femme.

- Bonjour Sylya, j'étais justement à ta recherche. J'ai bien réfléchis et ma décision est prise! Je souhaite entrer dans la guilde des Vindicatrices...

A ces mots je ne pu me retenir de lui tomber dans les bras .... je lui déposais un tendre baiser sur la joue, et l'entraina directement dans le bureau du recrutement.

-Baronnnnnn .... notre petit Glead veut faire partis de la force Rose.

Je trépignais d'avance, je savais que Glead serait une bonne recrue, une personne engagé, toujours agréable.

Content de la réaction de Sylya, je me présentais devant Baroncrapo pour poser ma candidature... Baron me donnait un petit questionnaire que je remplis avec soin. Après une bonne heure je rendais le parchemin à Baroncrapo et lui demandait poliment si je pouvait loger dans le manoir le temps d'obtenir réponse. Il me sourit et me donna la permission de reste chez lui. Je remerciais Sylya et Baron et partais.

Chapitre 17: Nouveau départ

Pendant l'attente, le manoir des Vindicatrices m'avait hébergé comme convenu. La réponse à ma demande devant me parvenir aujourd'hui dans la journée. L'heure approchait et je doutais de plus en plus, mais une toute petite partie de moi me criait de rester confiant. Je me convaincu et l'écoutais.
Je sortais dans les jardins pour m'aérer l'esprit, la bisse fraîche de la matinée caressait mon visage de ses voiles invisibles. Les fleures imbibaient l'aire d'une délicate odeur de rose. Cette atmosphère me calma aussitôt.
Les habitants du manoir passaient régulièrement devant le banc sur lequel j'étais assis, je les saluais par courtoisie et eux me rendaient un bonjour. D'autres échangeaient quelques mots avec moi avant de continuer leur chemin.
Je rentrais dans le bâtiment près à affronter la décision des Vindicatrices. Arrivé dans le manoir, tous le monde attendaient avec impatience le chevaliers et Baroncrapo qui devaient donner le verdict final.
Après quelques minutes d'attente dans le silence de mon esprit, ils arrivaient. Après avoir calmé l'assemblée Davelie entama son petit discourt. Baroncrapo suivit en me résistant la charte de la guilde... Une charte que je connaissais parfaitement et que j'aimais beaucoup, j'aime les valeurs et les droits qu'elle donnait au Vindicatrices. Davelie reprit:

- Bon très cher Glead...sur mes grosses épaules repose la lourde tache de te dire que la décision a été prise...le choix ne fut pas très difficile, en faite tout le monde à répondu la même chose...Donc voilà...Tu es maintenant Vindicatrices!

Mon cœur s'arrêta de battre, sous le choc... J'étais maintenant Vindicatrices!

- Merci à tous...

Je cherchais les mots pour exprimer mon bonheur...

- ... J'espère que je serais à la hauteur de vos attentes!

Comme la tension était retombée, la journée continuait à la taverne... Jusqu'à tard dans la nuit.

Chapitre 18 : Renaissance I

J'atteignais maintenant mes limites, je devais progresser pour pouvoir protéger toutes les personnes qui content pour moi et protéger aussi les si beaux paysage des contrées Carteloise de la main perfide des Royalistes et Exilés.
Dans une légende connue de tous, on racontait qu'un vieux fou nommé Stechine avait mis au point une magie très puissante pouvant donner au corps une puissance nouvelle. On disait qu'il vivait au fin fond du Vallon du chasseur de temps.
Je devais me renseigner au mieux pour pouvoir le rencontrer, je décidais de trouver les anciens de Syroch...
Après des heures de discutions j'eus la certitude que ce Stechine n'était pas qu'une légende. On me disait aussi qu'il fallait être fou pour utiliser cette magie impure pour obtenir de la puissance et que rien de garantissait ma survie à cette épreuve...
Je les remerciais et partais partais à la recherche du mage légendaire. Mais avant cela je devais me préparer, le Vallon du Chasseur de temps était réputé pour sa difficulté. Des bêtes féroces et des marécages empoissonnés lui donnaient cette réputation. Avant de partir je devais préparer un groupe d'expédition pour limiter les risques.
Je rentrais au manoir pour trouver du monde et entamer les préparatifs. Très rapidement, tous fut prêt pour le départ.

En ce 7ème jours du 7ème moi de l'année, je partais lourdement accompagné par mes frères et sœurs.
Le Voyage fut long, les monstres ne nous laissaient aucun répits. Le soir arrivait, une faible lumière brillait au centre d'un marécage, les monstres attiré par la lumière s'étaient regroupé. Cette lueur devait surement émaner du corps du mage en pleine méditation. Après avoir écarter les bêtes sauvages, nous avancions sur le pont de bois pourris par les ans. Stechine nous regardait sans cligner des yeux. Il marmonna des paroles incompréhensible, je m'avançais et posais sur le sol les objets de la légende... Tous disparu, après un instant, une porte d'un bleu éclatent arriva devant moi. C'était le moment de partir! Je me tournais vers mes coéquipiers et leurs adressait un message de remerciement en les priants de rentrer sans difficulté. J'ouvris la porte sous les encouragements et les vœux de réussite...

Chapitre 19 : Renaissance II

... Ma vision se brouilla, mon corps m'avait quitté, seul mon esprit restait en vie... Je ne savais pas si les flammes de la mort m'avait brulé, si je reverrais une dernière fois Sylya, si j'aurais encore la chance de revoir ma famille...
Après avoir flotté dans se néant pendant se qu'il m'avait paru des jours, je prenais peut à peut prise dans une enveloppe charnel. Je sentait aucun changement pour le moment. Enfin je me réveillais. Ma vision était particulièrement claire, mes pas particulièrement léger, mon odorat amélioré. Je ressentais autour de moi l'énergie des choses!
Je fis quelques pas et m'écroulais, se voyage m'avait profondément affaibli. Mais ou étais-je ? J'ouvris péniblement les yeux et vis le ciel légèrement foncé, c'était le matin, le soleil pointait. Je fermais les yeux mais quelqu'un arrivait. Je l'avais senti avoir même de le voir... Stéchine avait réussi son sort! J'entrouvris les yeux au moment ou un énorme crapaud sautais sur mon torse.
Il me fixa longuement avant de sortir ces mots à ma grande surprise:

Bien le bonjours aventurier du temps, je suis Bur, ton nouveau maitre. Sans mon aide, tu ne reverra pas les terre d'Alidhan... Mais passons !

Encore sous le choc de voir cet animal parler, je répondais:

Je suis Gl...
Je sais qui tu es, bien plus que tu te connais toi même. Je sens en toi un certaine détermination... Mais passons !

A l'entendre, je ne pourrais jamais partir sans son aide...

Il faut vraiment que je retourne dans les contrées d'Alidhan, j'ai encore tellement de chose à y faire!
Oui, je le pense bien... Mais passons ! Tu n'as pas la force nécessaire pour reparti. Avant tous, tu devras suivre mon entrainement.

Il posa ses doigts palmés sur mon front et m'envoyait une puissante vague d'énergie.

Commençons !

Chapitre 20 : Renaissance III

Je me levais, mon corps me faisait souffrir, mais je ne m'en plaignais pas.

Comme tu as put le constater, ton corps a changé... Mais passons ! Tu vois, là-bas, le drapeau, vas y et reviens!

Je courrais habilement entre les pierres, traversais se qui ressemblait à un pont, touchais le poteau et revenais. A mon arrivée, Bur était mécontent, je devais aller plus vite...
Après avoir essuyé plusieurs échecs, je n'abandonnais pas, montrant mon agacement, je continuais sans rechigner. Gentiment, mon corps répondais mieux à mes ordres, je m'améliorais jusqu'au point de satisfaire le crapaud. Il me tendait ensuite un arc à la forme étrange. Je le pris dans mes mains, l'arme semblait particulièrement légère. J'encochais une flèche mais le cadre ne se courbais pas. Bur m'encouragea et me disais d'y mettre toute ma volonté, de laisser pénétrer mes sens dans l'arc, d'y donner la force de combattre!
Écoutant les conseils, je fis le vide dans mon esprit, me concentrant intensément sur l'arc. Subitement le bois de mailla, surpris, je relâchais ma concentration et voyais la flèche filer dans les aires.

...

Burg m'avait enseigné de nouvelles techniques, appris à contrôler mon énergie... Il m'avait entrainé ! Comme promis, je pourrais retourner dans mon monde maintenant que je métrissais ma force. Bur avait compris mon empressement, des jours s'étaient déjà écoulé. La même porte apparu devant moi, je me retournais vers Bur et lui demandais comment je pouvais le remercié. Il me répondu simplement de ne pas l'oublier. Il me sourit et je repartais pour un voyage à travers le temps. Mais bien vite je me retrouvais au milieu du manoir des Vindicatrices... Attiré par la puissante lumière, quelques personnes s'était rassemblée autour de moi, mais je ne vis pas ceux qui m'avait accompagné, avaient-ils eut un problème sur le retours ?! Je demandais des renseignements, mais la le jours ne s'était pas couché sur les terre d'Alidhan.

Chapitre 21: Ma vie

En se 24ème jours du 12ème mois de l'année, je finissais d'écrire ces lignes. Des lignes qui retracent toute ma vie, de ma naissance à ma renaissance et de ma renaissance à aujourd'hui. En regardent toutes ces pages noircies, je ne pouvais m'empêcher de sourire, content de l'homme que j'étais devenu! Même si je n'est rédigé tous les événements que j'aurais voulu y mettre... Je pense surtout à la cérémonie de mon allégeance, du parrainage avec Sylya, des bottes légères que j'avais reçu, des heures passé à la recherche d'informations avec Willel et Wohlraj dans les coins d'une bibliothèque...

Je remerciais infiniment toutes les personnes qui m'avaient donné: force, courage, soutien, amour, amitié, réconfort et tant d'autre chose...
Je remerciais tous particulièrement:
- Les Vindicatrices, ma famille, qui ont pris soin de moi et qui ont participé activement a se que je suis maintenant... Je leur dois tous!
- Tous les Cartelois qui se battent continuellement et qui ne baissent pas les armes!
- Tous mes amis mort au combat !
- et tant d'autre!
Je ne veux citer aucun nom pour n'oublier personne... Parmi ces gens, certain son mes amis, d'autres des frères, d'autres encore sont de simple connaissance ou compagnons de guerre... Une chose était bien claire en tous cas, ils sont tous de respectables guerriers du Cartel!
Et moi, j'étais Glead!

Je tirais un trait final, enfilais mes habits d'apparat, sautais dans mes magnifiques bottes légères et partait ver la taverne où la fête de Noël avait déjà commencé.

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Je suis vraiment désolé pour l'orthographe... j'ai écrit ça un peut à la bourre alors voilà

En tous cas merci à se qui auront lu, même si c'est pas un texte super xD

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