Le Journal du BaronCrapo

[Jour 3-1]

Je l'ai convoité, aujourd'hui malgré nos différences de position, je l'aime encore, mais sans doute plus comme une amie...

*Accroche des papiers au journal*



Lors de l'un de mes séjours automnal, en randonnée dans des ruines d'une autre époque, tu t'es rappelé à mon bon souvenir. Quelle joie ce fût pour moi de te revoir enfin, après des mois sans la moindre nouvelle, je désespérais seul dans mon coin devenu l'ombre de moi même, errant de chemin en chemin, mes amis les esprits finissaient par me prendre pour l'un des leurs. Mais tu étais là, ta joie toute naturelle, tes sourires, la douceur de tes paroles me redonnèrent vie même si j'étais pas mort.

Les feuilles tombaient jaunis par le temps, le vent se faisait chaque minutes un peu plus frais, le soleil semblait déjà être un souvenir d'un été radieux ; et pourtant je voyais mille fleur à travers ton regard, une soudaine chaleur envahit mon coeur et mon corps, une lumière scintillait autour de toi et dans les pupilles de tes yeux. Que n'ai je point été plus courageux ce jour là de t'inviter à prendre le thé dans un coin tranquille, juste nous deux et l'infini de mes sentiments naissants.

Aujourd'hui, il est temps... de prendre le taureau par les cornes, bien que je n'ai pas trop envie de lui infligé ça à cette pauvre bête, du coup je vais juste lui mettre une petite tape au derrière, au taureau bien sûr ! Reste donc à trouver le courage de venir lui dire à quel point elle compte pour moi, plus que mon boulier sans lequel je ne serais pas millionnaire a ce jour. Oui la revoir et lui dire en la regardant droit dans les yeux en trouvant cette sublime force des grands hommes à ne pas lorgner sur son sublime balcon, combien (pour ce chien dans le vitrine... la la la... ) elle ne me laisse pas indifférent tout chez elle me plaisait, du plus long de ces cheveux a son petit orteil droit !

La force ne venant pas je me demande si un faible elle aimera... Non comment saurais elle ? Demander à un ami de le faire pour moi ? Le 50/50 ? Nenni !! Il existe un moyen lâche et simple à la foi, pourquoi n'y ai-je pas songé plus tôt (Non pas le chien de Mickey... d'ailleurs.. que se passe-t-il quand Mickey et Mario sont sous la douche ? Réfléchissez bien... dans une autre parenthèse la réponse vous trouverez, oui je fais mon Yoda ! Gnagnagna c'est mieux que de faire mon vador !) ? Je vais lui écrire un mot gravé dans la pierre ! ... Euh... non en fait je vais lui écrire un mot sous forme de lettre ... sinon je vais y passé mes plus belles années... suis trop jeune pour continuer à être seul !

Après avoir allumé une quinzaines de bougies pour être sûr d'avoir un bon éclairage en cette nuit sans lune ou presque en fait c'est le dernier quartier mais il y a des nuages parfois, le Baroncrapo étala devant lui tout ce dont il avait besoin pour écrire une jolie lettre (non il n'étala pas sa cervelle !). Il y avait des feuilles de papier, des plumes... et un pot de jus de poulpe. Puis il débuta d'écrire d'abord lentement, puis frénétiquement, l'inspiration venait trop vite, son écriture faisait peur à voir, un poulet n'y aurais pas retrouvé ses poussins. Le travail qui fût un plaisir finit, il le regarda attentivement à la lueur d'une bougie, songeant... pensant.. rêvant..

...

« les Vindicatrices présentes : Le Rêve semi éveillé du BaronCrapo »

Dans l'immense demeure des NG, aucun drame ne se jouait, tout était paisible comme l'enfant qui vient de paître, un courrier sur son fidèle Pataclop (une sorte de cheval en moins beau), venait expressément apporté une massive missive enfermé dans un étuis improbable de taille, son destinataire, une destinataire. Et pas n'importe laquelle des chattes de ces lieux, la plus belle de toutes (Mais non vous êtes toutes belles, enfin pour les autres, moi j'en vois qu'une !), la princesse Iryllia elle même herself que c'est bien elle dont il s'agit !
Le courrier, sorte de facteur habillé encore plus mal que ces derniers, hurla à son arrivé son intention de faire son travail dignement dans les délais impartis par son estomac qui criait famine encore plus fort que lui criant : « PRINCESSE, UN COURIER POUR VOUS !! ».
Cette dernière descendit espérant bien entendu que ce courier soit celui qui fera rebattre son coeur, bon je dis pas que c'est un zombi sans poux la princesse, loin de là, mais enfin... j'me comprend ! Elle couru dans ses quartiers, puis couru dans le couloir, puis couru dans les escaliers... puis... hum.. boita dans la cours jusqu'à ce quelle arrive enfin devant la porte.. tien pas de porte se dit elle.. flute de zut elle était à l'opposer de l'entrée ! Hop demi tour, et après moulte péripéties elle arriva devant le jeune courrier d'un certain age pas trop mûre.

Celui ci crus mourir devant tant de beauté... intérieure.. la pauvre princesse encore dans sa tenue nocturne d'un matin long et pénible, les cheveux ébouriffés tenant plus du nid d'oiseau maladroit que
des fils de soies, couverte de sueur et de boue laissant entrevoir les soucis qu'elle eût sur le chemin à moins que l'hygiène de ses quartiers ne soit .. non je le dirait pas ! Le pauvre courrier devant une telle souillon refusa de donné la missive qui pourtant minute après minute lui déformait les épaules tant son poids écrasant vers le sol la dirigeait.Puis souriant comme elle pouvait elle lui dis voulant sans doute un semblant de consistance qu'elle irait cherché de ce pas la Princesse. Subterfuge tactique de cette dernière, car en vérité préservant ainsi son honneur en passant incognito dans l'état déplorable qu'elle se trouvait, elle couru jusqu'à perdre haleine (non je referais pas le coup de la laine fraîche ... au fait.. non j'oublie pas : Mario Brosse et Mickey Mousse), pour se refaire en quelques instant une petite beauté...

Seulement trois jours plus tard elle revint à la porte devant le courrier décédé prématurément d'une diabolique faim inassouvi, à moitié dévoré par son cheval laid (et pourtant c'est pas un peintre), dans toute sa splendeur légendaire brillante de beauté irréelle, éclairant à elle seule les bois environnant et faisant pâlir le soleil couché bien plus tôt par jalousie mal placé, et ramassa le rouleau improbable. Mais celui ci étant trop lourd elle du l'ouvrir, et dedans un autre rouleau plus petit, et dedans un autre rouleau plus petit et dedans un autre rouleau plus petit.. alouette ! Au final perdant patience quelque peut comme toute princesse digne de ce nom, elle lança une boule de feu sur les rouleaux. Une explosion , des flammes, et un dernier rouleau apparurent... Elle le saisie d'une main tremblante, son coeur palpitait de mille feu, sa robe crépitait aussi de mille feu !!! Après s'être roulé dans le sable frénétiquement afin de retrouver une température concevable et ne pas totalement brulé ses vêtements qui laissaient déjà bien trop de chaire visible au premier paysan qui passerait dans le coin...
Par chance le premier paysan est un pochtron, il n'apparaitra pas dans cette scène car il cuve son vin dans un troquet lugubre très loin de là ! Tant pis pour lui il sais pas ce qu'il rate !

Décalottant l'opercule elle ouvrit le rouleau devant contenir un message chaud comme la braise et bouillant comme un cerveau de baron au travail.. et ... des cendres en coulèrent... elle hurla soudain à la mort comme quand on essai tant bien que mal de percer un bouton fleurissant intra-nazzal.

« Les Vindicatrices présentent : Le douloureux réveil du BaronCrapo »

Sortant subitement de ses songes, le pauvre Baron se vis tenir une feuille à demi carbonisé, avec une main cloqueuse à souhait pour peu qu'on fasse ce genre de souhait bien entendu. Les enfants, ne faites pas ça chez vous.
Ayant arraché un vieux caleçon pour se bander la main, le BaronCrapo se remis à l'écriture tant bien que mal que bien que mal et inversement, mais tellement moins bien que la précédente version !

« A la plus belle des princesses

Depuis plusieurs Lune en pensant à toi je me tâte, bien qu'on se connaisse depuis longtemps, qu'un respect mutuel s'installe, je me dois de te dire en ce jour que je ne suis pas honnête avec toi. Non je ne te trahirais jamais, non je ne souhaite nullement te faire du mal. Je ne sais trouvé les mots, c'est bien difficile pour moi de sortir l'essence de ce que je ressent aujourd'hui pour toi. Aujourd'hui seulement ? Non dès le premier jour de notre rencontre en vérité, oui dès ce jour, je savais que tu serais celle qui occuperais mes pensés... Et pourtant j'ai tenté de les enfermés, de les étouffés, car je ne voyais aucun signes de toi répondant à mon amour naissant... mais aujourd'hui, je n'en puis plus, il faut que ça sorte, que ça se sache, j'ai envie de crier dehors au monde entier que tu es la plus belle femme qu'il m'est été de rencontrer, que tu es celle que je désir plus que tout.
Dans mes rêves je te tien par la main, on ne se sépare plus, je partage ta vie tu partages mon lit, notre bonheur se construit... nos envie d'enfants, d'être des parents...
J'aimerais te dire tout ça, en face, ne plus être lâche, prendre tes mains tendrement, te sussuré que je t'aime, frôlé tes joues de mes lèvres, puis tes lèvres sous les miennes s'ouvrir, mes bras autours de ton corps te serré très fort, et arrêté le temps...

Aujourd'hui tu sais tout.. ne sachant ta réaction... j'attendrais ta réponse... »

D'un pas sûr et tremblotant, le BaronCrapo cacheta son plis de son sceau à la cire rose « B\V/C », puis appela son courrier pour que ce plis arrive dans les main de la princesse le plus vite possible !

Le Baron, s'assit après avoir ouvert la fenêtre et se mit à regarder les étoiles en songeant ... puis s'endormit..

Iryllia a écrit:

... en ce beau matin, un jeune coursier toca à la porte de la Princesse..
Il avait pour elle une missive cacheté avec une étrange cire rose....


Elle provenait de leur allié BaronCrapo ..
Elle l'ouvrit, puis s'installa confortablement sur son lit en dégustant quelques branches de triffride..

Lorsque ses yeux parcoururent cette lettre, la jeune femme cru un instant que c'était une erreur... ou une blague..
oui sans doute une blague... son ami avait pour habitude de faire preuve d'un humour assez étrange et sans limite..
Elle tourna et retourna la lettre dans tous les sens à la recherche d'un éventuel "j'tai bien eu".. ou encore "rooh tu y a cru?!" .. mais non.. rien..

Plus elle lisait la lettre et plus elle lui semblait ne pas être une facétie, mais bien une véritable déclaration..
Elle resta un peu interdite et sans voix.. se disant qu'il avait du falloir beaucoup de courage au baron pour se lancer ainsi..
Puis elle essaya d'imaginer comment les choses pourraient être..

Ces songes furent interrompu par un tambourinage à sa porte..
C'était de nouveau ce pauvre coursier en sueur qui avait une autre missive urgente pour la Princesse..

Iryllia attrapa fébrilement la missive.... celle ci semblait bien étrange.. pas de signature juste ceci:


accompagné d'un texte

Citation :

Tu nE DoiS Pas cRoiRE Ce Qu'Il DiT... Il FaIT çA à ToUteS lEs FeMmeS Du RoyAUmE

La déception pu se lire sur le visage de la jeune femme.. elle avait faillit croire à la sincérité du baron.. mais elle devait se rendre à l'évidence.. la réputation de coureur de ce dernier était bien fondée et elle en avait une belle preuve sous les yeux....

Elle hésita à bruler tout ceci, mais se dit que répondre avec de l'humour serait peut être une solution, aussi elle prit une plume et un parchemin et griffonna juste quelques mots..en joignant la photo ou l'on pouvait clairement voir pour qui le baron n'avait d'yeux....

Citation :

Mon cher BaronCrapo...

Je vous souhaite longue vie et bonheur à tous les deux (3? 4? 5? dieu seul sait combien il y en a...) .. j'espère au moins que je serai invitée à ton.... hum.. pardon.. à TES mariages...

amicalement, Iryllia.

Tout en faisant cela, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de rire..
Sacré Baron se disait elle.. il lui en aura fait voir décidément...

(Suite )

Baroncrapo a écrit:

Dans son large fauteuil près de la fenêtre, le BaronCrapo attendait depuis des jours une réponse à sa missive. Depuis presque une année, il avait hésité à lui écrire, ces derniers jours d'attentes étaient sans nul doute les pires de sa vie. Oui bien pire que la foi où il gouta ces infâmes baies aux gout de pierre... qui lui causèrent bien des soucis intestinaux lors d'une prise de forteresse de derrière les buissons !

*Ding Ding Ding !*

"Oh ! C'est le courrier !!!* Se dit-il en se levant brusquement !

Courant comme un enfant dans les escaliers, il ne mis pas plus de quelques seconde pour traverser tout le manoir. Il ouvrit brutalement la porte ce qui provoqua une peur bleu au pauvre courrier déjà coulant de sueur. Il arracha les lettres des mains de ce dernier, jetant au gré du vent facture et lettre intime pour le Baron FTk, des abonnements à SM mag d'Azzura... et extirpa deux enveloppes à son intention puis repartis fou de joie dans ses appartements pour les lire tranquillement à l'abri des regards.

Le premier était de la princesse, il le sortit, les mains tremblantes, son coeur battant la chamade... et lu..

Citation :

Mon cher BaronCrapo...

Je vous souhaite longue vie et bonheur à tous les deux (3? 4? 5? dieu seul sait combien il y en a...) .. j'espère au moins que je serai invitée à ton.... hum.. pardon.. à TES mariages...

amicalement, Iryllia.

Puis regarda la dite photo..

Le monde s'arrêta de tourner, le visage amorphe, les yeux agars, il manqua de tomber au sol prématurément, il s'agrippa nerveusement au dossier de son fauteuil avant de choir de tout son poids sur les coussins propres et fermes changer la veille par on ne sais qui, car ça changera vraiment rien à l'histoire !

Mais pourquoi ? Comment ? ... Elle croit vraiment que je suis avec Niniel... Une bonne amie c'est vrais... mais en ceinte jusqu'au cou d'un autre ! Pourquoi pense-t-elle ainsi... cette photo.. oui c'est vrais je suis souvent attentionné avec mes amies.. Mais jamais je n'ai ...

Il ouvrit la seconde enveloppe, cette dernière contenait un étrange mot...

Citation :

LA PrIncEsSe EsT un HommE, J'aI DES preUveS

... et une étrange photo floue où on distinguait en effet la princesse, de profil.. avec une.. bosse.. où il ne faudrait pas.. enfin... fort étrange.. Par chance je ne fait pas attention à cela... un de ces prétendants jaloux sans nul doute ! Ils n'ont pas tous d'honneur il faut croire ! Hop dans la cheminée !

Puis d'une main tremblante, il prit sa plume pour à nouveau écrire à la demoiselle, mais l'espoir en moins... oui il savait que Xav et Iryllia... c'était pas loin de .. enfin c'est ce qu'on racontait. Même en sachant cela, il ne peu se retenir...

"Très cher Princesse Iryllia,

Je viens tous juste de recevoir votre missive, je suis bien triste d'avoir lu ces mots, jamais je n'ai tenté d'en séduire une autre, d'autant plus Dame Niniel qui est une grande amie. Bien sûr je n'ai aucune preuve à vous fournir que ma simple bonne foi, vous êtes la seule que je désire, la seule que j'aspire à connaître entièrement.
Aujourd'hui, je viens à genoux s'il le faut me mettre à nue devant vous, je viens vous offrir mon coeur et mon âme. Il n'y a aucune autre femme en ce monde qui me fait cette effet, elles n'existent plus, elles n'existent pas.... Je suis certes maladroit, je n'ai pas l'habitude de me livrer ainsi, c'est bien la première foi en vérité.
Je maudit mes parents qui m'ont donné un coeur à quoi bon aimé seul dans son coin, à quoi bon avoir tant à donner si ce n'est à celle pour qui on vie... J'en fais le serment ce jour, plus aucune femme n'existera à mes yeux... Je préfère être seul que sans toi !

Le BaronCrapo "

Il plia maladroitement son papier puis le mis dans une petite enveloppe rose, à croire qu'on a que des enveloppes roses dans cette guilde ! Se levant, encore sous le coup de l'émotion, il se dirigea vers la porte... et apporta la lettre à ... Il fit soudain demi tour. Rentra en furie dans ses appartements, et pris de quoi faire un petit voyage ... direction... l'antre des NG !

Chemin faisant, personne ne se mis en travers de la route du géomancien, les chemins qu'il prit ne sont noté nulle part aucun risque de faire de mauvaises rencontres ! Et heureusement car ils auraient vraiment mal fini les vils qui se seraient risqué à l'aborder ! Au bout de longue heures de marche, il arriva enfin en vus du château.... N'écoutant que son courage il confia le mot à une personne de confiance, espérant qu'elle le remettra en main propres et manucuré à sa destinataire...

ANIMA a écrit:

Anima vit entrer dans sa taverne un Baroncrapo de fort mauvais poils. Pour tout dire il avait le poils terne, la queue tombante, et les oreilles basses.
Anima eut presque pitié de la pauvre bête. Elle lui demanda de son ton le plus aimable :
- Qu'est ce que je vous sers ? (ton de la vieille parisienne...)

Le Baroncrapo s'installa au comptoir et faisait tournicoter sur le coin une enveloppe rose.

Anima qui avait décidé d'être aimable comme une porte de prison aujourd'hui, lui demanda avec ce ton si horripilant :
- Bon tu la crache ta valda ? Qu'est ce que tu as à me demander ?

Baroncrapo était vraiment étonné, il avait choisi l'elfe verte comme personne de confiance, et là il regrettait presque son geste.
Contre mauvaise fortune, il remit la lettre à Anima et la supplia d'aller l'apporter à Iryllia.
Anima prit l'enveloppe et la leva face à la lumière pour voir si elle voyait à travers.
- J'ai une tête de postier ? Bon d'accord je lui donnerai.

Elle laissa le Baroncrapo au comptoir avec un verre de Cognac, et s'en fut chercher sa chére Princesse...

Etrange Créature a écrit:

Tapi dans l'ombre un drôle de personnage avait tout vu et tout entendu....

Dieu seul sait qui avait envoyé cette minuscule créature .. mais celui ci avait pour habitude de mener toutes ses missions à terme, proprement et discrètement.
Il attendit un instant que la jolie elfe enragée détourne le regard puis se faufila tel un voleur derrière elle.....

D'un pas si agile et si léger que l'Elfe même ne pouvait sentir ou entendre..
à croire que cette créature n'était pas humaine....

Sans même que la tavernière ne s'en aperçoive, il chaparda la lettre et la remplaça par une autre lettre mentionnant simplement ces quelques mots..

Citation :

Douce et capricieuse Iryllia.

Oui j'aime une autre femme... et des tas d'autre même.... je n'aurai jamais assez de toutes les mains de mes servantes pour les compter..
Si tu ne te sens pas capable de me partager.. moi l'homme le plus convoité du royaume.. alors oublies tout ce que j'ai pu te dire..

Je ne serai jamais l'homme d'une seule femme.. ho grand dieu non.. jamais.

BaronCrapo.

Puis le fourbe disparu dans l'ombre comme il était arrivé.. personne ne su jamais que les lettres avaient été inter changées..

Iryllia a écrit:

Lorsque Iryllia vit anima lui porter une lettre, celle ci se précipita, ne cherchant même pas à savoir d'où elle provenait..
Une fois la lettre en main, la Princesse lu attentivement le contenu de la lettre....


Son visage s'assombrit soudain.
Elle chiffonna la lettre puis la jeta à terre, et d'un air des plus hautain elle se contenta de dire:


- ma chère Anima.. les hommes sont des rustres.
Je ne veux plus jamais que tu me portes quelconque courrier provenant de notre allié le sieur BaronCrapo..
Je t'autorise à bruler n'importe quelle missive qu'il cherchera à me faire parvenir..

Puis lachant tout de même un sourire à sa chère amie qui n'y était pour rien dans tout ça, Iryllia s'en retourna dans sa chambre.

ANIMA a écrit:

Anima ramassa la boule de papier et curieuse qu'elle était ne put s'empêcher de la lire.
Elle se mit à ricaner :
- Je ne joue pas avec le feu donc je ne suis pas prête de bruler les lettres, par contre il y en a un qui va tater de mon fouet.

Anima repartit aussi sec en direction de la taverne, elle décrocha son fouet.
Baroncrapo tournait le dos à la porte d'entrée, il aurait été si simple de le fouetter alors qu'il regardait ailleurs.
Anima de colére hurla :
- Baroncrapo fait face à ton bourreau ! Tu vas connaitre la puntion suprême pour avoir osé insulter une de mes soeur Chattes...

Elle lui jeta à la figure la lettre qu'il avait écrite à Iryllia et qu'il avait eu le culot de lui demander de porter.
- Assume tes actes !

Anima leva son fouet...

....