Mon coup de coeur ( rp fermé sauf pour toi qui le sais )

Le début de soirée se présente, je déambule dans les longs couloirs du domaine. J'aime ces soirées fraiches et humides de l'automne, sentir les premiers feux de cheminée, le crépitement du bois. Le vent souffle comme une plainte, il crie comme mon cœur en ce moment.

Mes mains frôle le mur de pierre, ma pensée s'évade et se dirige vers lui, qui depuis peux me bouleverse ...
je me laisse bercé par le bruit de mes pas, le bruissement de ma robe, le battement de mon cœur. le bout du couloir et sa pénombre rassurante s'approche et je m'arrête dans un recoin sombre comme il m'arrivait tant de le faire. j'observe.

Il est là, mes yeux ne peuvent se détacher de lui, des envies m'envahissent l'esprit.

Je ferme mes yeux et imagine ces lèvres douces et chaudes se poser sur les miennes, ces mains vagabonder sur mon corps... si seulement il savait le désirs qui me brule la peau.

Mes yeux s'ouvre à nouveau, je le regarde parler faire de grand geste, tout les mouvements de son corps me donne des idées, des envies.

Si il savait mon désir, si il pouvait sentir mon envie. Mon cœur tressaillit quand il se retourne et fixe dans ma direction, j'avais comme l'impression qu'il sentait ma présence. Je me plaisais à le croire ... Un sourire ravageur se dessine sur ces lèvres, et il détourne sa tête. Sa chemise blanche fine, laisse entrevoir des épaules larges et fortes, son torse taillé en V me laisse en admiration.

Il repris le fil de sa conversation avec Baron et les autres. Sa voix me porte, mes yeux se referme et dans mon esprit la vision de nos de corps qui entremêlent. Comme j'aimerai sentir son parfum, sentir sous mes lèvres le goût de sa peau.

J'espère de tout cœur, que mes assauts de tentatrices sur ce bel homme, lui fit comprendre les réels pensées qui me traverse .... des paroles reviennent me hanter ....

J'ai eu envie de lire
Du désir dans tes yeux
Que nos chaleurs s'échangent
Que nos odeurs se mélangent
J'ai eu envie de te murmurer
Des mots tendres
J'ai eu envie de goûter
A la saveur de tes baisers

seule dans la pénombre, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Je marche dans la cours, le froid m'envahit, mais mon cœur est chaud car il brule pour lui ... Je n'arrive plus à l'effacer de ma tête, je le vois partout.

Je respire un grand coup de cet air froid, je lève les yeux au ciel et tournoie sur moi même. Ivre de ma pirouette, je choie sur le sol dans un tas de feuilles. J'aime l'automne, je regarde virevolté les feuilles, les oiseaux migrent vers des pays chaud... et mon cœur brule pour lui . Je souris .

De l'animation se fait entendre au loin, me sortant de mes pensées. Je me relève, et marche lentement vers l'entrée. Les feuilles roussis, frotte mes chaussures, j'aime se craquement.
je regardais mes pieds poussait les feuilles quand je le heurtai.

Ces bras fort m'enserrèrent, son souffle chaud me parvint. Je respirai un grand coup pour avoir son odeur. Après quelques seconde je me reculai, ces mains sur mes épaules. Mon cœur battais si fort, qu'il pouvait l'entendre. Mes mains sur sa veste s'agrippaient. Je relevai la tête doucement, il arborait un si doux regard, un si beaux sourire ...

Un sourire charmeur se dessinai sur mon visage. Ces mains glissèrent le long de mes bras et me saisit les mains.

Du bruit se fit entendre, je sursautais et lâchais ces mains pour faire demi tour. J'aperçus au loin la porte qui se refermais.
Je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir qu'il était plus prés de moi. Je baissais la tête et me remémorais ce moment sans paroles mais ou juste pour moi les gestes avait compter.

Je languissais le moment où enfin je l'aurais contre moi, pour moi, à moi ...
Je languissais le moment où enfin je pourrais succomber à ces baisers ...
Je languissais le moment où enfin je serrais dans tes bras ...
Je languissais le moment où enfin je pourrais passer la nuit contre lui ...

Je sentais son odeur, je sentais sa chaleur, je sentais sa douceur ....

je fermais les yeux seule dans le jardin, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Je l'aperçois au bout du couloir.

Nos regard amusés sont plongeaient l'un dans l'autre, un sourire rempli de complicité marque notre visage.
on marche l'un vers l'autre en faisant fi des gens autour de nous.Pendant tous ce cours trajet, j'aimerai qu'il ressente mon désir. Mon désir de l'embrasser, mon désir de l'avoir dans mes bras, le désir de son corps, le désirs de ces lèvres ...

Pas à pas, mon cœur s'emballe, mes yeux le dévore, ma démarche se fais naturellement sensuel, ma tête se baisse légèrement pour donner un peux d'intensité à mon regard, je mord ma lèvre inférieure et la laisse glisser entre mes dents...

Quand nous nous croisons enfin, il laisse sa main effleurer la mienne. Mon cœur s'affole, il y avait une envie de me bouleversée dans ce geste, des secondes qui paraissent des minutes, des minutes de bonheur.

Juste quelques pas après, je me retourne et il me regarde au dessus de son épaules sont regard amusé toujours accroché, et les yeux pétillants... il est tellement beau ! Je le regarde s'éloigner, à la façon de se mouvoir je sais par avances qu'il serait un amant formidable ... Je sens le feu me monter aux joues, je baisse la tête, remplie d'émotions je prend le temps de fixer ce moment dans ma mémoire.

Je regagne ma chambre et dans la pénombre naissante, j'ai qu'une envie ...
J'ôte ma robe, elle glisse le long de mon corps me laissant en sous vêtement. Je rajoute du bois dans la cheminée où les braises survivaient péniblement.
Je soulève mes draps. Je me plonge dans mon lit, ma chambre est si fraiche ...
Je ferme les yeux, et laisse mes mains faire ce que j'aimerai tant qu'il me fasse, mon cœur brule, brule pour lui ... mon corps réagis, réagis pour lui... et dans mon plaisir, c'est son prénom que je sussure ....

je fermais les yeux seule dans mon lit, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Il est là, dans la taverne assis dans un coin plus sombre, je l'observe entrain de parler avec les autres.Il détourne régulièrement les yeux vers moi, je me décide à m'avancer vers eux, des verres pleins les mains pour instaurer naturellement une ambiance détendu...

Je me glisse sur la chaise près de lui, la discussion s'installe sans problème, je lance des œillades aux hommes, fais des sourires charmeurs comme à mon accoutumé. Les rigolades sont franches, les paroles légères ...

Il pose sa main sur ma cuisse, doucement et fais glisser ma robe sur le coté. sa main chaude et maintenant sur ma cuisse, fraiche et douce. Mon corps trésaille, mes joues rougissent.

-Tu as trop bu Syl !! tu as les joues en feu. Me lance-t-il amusé de la situation

Mon corps étais en émoi, sa main me caresser la cuisse délicatement et remonter de temps en temps pour m'effleurer subrepticement l'entre jambe... Mon cœur s'emballer à chaque fois, alors que lui continuer de parler comme si rien ne se passer, il me regardait tendrement du coin de l'œil.

J'avais qu'une envie, l'embrasser.... ma main se posa sur sa main pour accompagner se geste, il entremêla ces doigts aux miens. J'étais aux anges, il pouvait rire avec d'autres filles, lancer des sous entendu aux autres filles.
Peut m'importer tous cela, c'est moi et moi seule qui avait ces gestes là. j'en demandais pas plus, il ne m'en demandais pas plus ...

Je me sentis tirer de ma chaise, vers la piste de danse. On m'entraina dans une danse folle, mais je le chercher du regard, il m'épiait amuser ... J'affichais un regard enjoué, pétillant de joie, il se rapprochait de moi de plus en plus, il me saisit pour me faire tourbillonner à son tour .... Ivre de bonheur, je transpirais le joie.

Nos corps complice, l'un contre l'autre, sa jambe entre mes cuisses, nos doigts entrelacés, sa main qui me pressait contre lui, ma main dans le creux de ces reins ... Je le fixais, avec un regard de désir. Son regard se fit à son tour désireux, et je ne pu le soutenir ....

je fermais les yeux, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Je cherchais un coin pour me cacher et regardais mes ami(e)s, j'aimais les voir interagir, se parler, s'engueuler, s'embrasser ...
Je me délectais de se roman taille réel, les amours et désamours, les réconciliations, les jeux.

Je contemplais le hall dans mon recoin, dans ma pénombre, je me sentais en sécurité, les bruits diffus des pièces avoisinante me venait, je fermais les yeux pour imaginais les scènes que je rater.

Des cris me parvint, je remarquais des jeunes, jouaient et se chamaillais... je souris, que j'aimais ces lieux, je me sentais chez moi et en sécurité. De plus il faisait partis de ces lieux lui aussi. Je regardais Dav traversais le Hall d'un pas assuré toujours aussi occupé. Captivé par l'agitation, je ne l'entendis pas arriver...

Il glissa ces bras autour de ma taille et me plaqua contre son corps. Il me déposa un baiser tendre dans le cou, je fis glisser mes mains sur ces bras, il m'embrassait tendrement encore et encore. Il était doux, sécurisant, et son savoir faire me donnait envie de sexe, d'amour et de tant de chose. Mon cœur bruler pour lui...

Je me retournais, pour être contre lui, prés de lui... Ces mains enserrèrent mon visage de pars en pars, il fit passer sa langue sur ces lèvres et déposa un baiser sur les miennes, nos langues s'entremêlèrent. Mes mains sur son torse sentait son cœur battre la chamade, nos cœurs battaient à l'unissons. Une de ces mains glissait le long de mon coup et vint effleurer mon décolleté généreux, du bout du doigt il caressait mes formes généreuse, j'aurais aimer que ces lèvres s'y perdent à leur tour . Nos baisers se faisaient plus passionnés, je savais que ce moment de tendresse allez s'interrompre, et que cela signifié que j'allais devoir le laisser partir quelques jours.

Il s'interrompait en entendant une personne l'appeler. Il était attendu ... il posa son front contre le mien, ces mains me caressaient le visage

_A plus tard ma belle !! laissa-t-il sortir doucement

Il me serra dans ces bras, sa main descendit le long de mon dos et caressa le galbe de mes fesses. En s'écartant de moi, il arborait son beau sourire et son air coquin. Il s'éloignait.
Je me languissais déjà son retour.

Je fermais mes yeux dans mon coin, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Je m'endormis dans mon grand lit froid, nu. je regardais le feu bruler , danser ... Peux à peux mes yeux se ferment, mon corps se relâche.

Je le sens même pas se glisser contre moi, dans mon demi sommeil, je me laisse bercé par la cadence de ces caresses, par la douceur des ces baisers ...

Tout contre moi, sa peau chaude. Il dégage les cheveux de mon visage et me chuchote tendrement à l'oreille

_Tu m'as manqué !

Un sourire viens de se poser sur mon visage.... J'ouvre les yeux, ma chambre est vide j'ai rêvé. Je lâche un soupir, je pouvais presque sentir son odeur.

Je me relève, en m'emmitouflant dans ma couverture, le froid me saisie, je me dirige vers la fenêtre. Je dépose ma main sur cette vitre froide et couverte de buée, j'écris son initial. J'entendis du bruit devant ma porte. En l'ouvrant, je découvris une rose posé à même le sol et des feuilles d'arbre roussi par l'automne. J'aime l'automne ...

Je me penche dans le couloir sombre je ne vois personne, ces les feuilles de mon arbre préféré. Ces petits détails me ravissent car il pensent à moi...

Je m'abaissais pour ramasser, ma rose et mes quelques feuilles, je soupirais et me retourna, je posais mes présent sur la table prés de ma porte et avant même que je la referme, je sentis ces bras autour de moi. Il ferma la porte d'un coup de pied, me fis faire demi tour et m'embrassait passionnément. Il retira ma couverture d'un geste rapide, il me dévisagea et me souris. il attrapa sa chemise par le bas et la retira, laissant entrevoir son torse fort et musclé. Il la jetait dans un coin de la pièce. Il était si beau , son regard profond et sombre, laisse paraitre son désir.
Il se rapprochait de moi et m'embrasse avidement, je sens son désir brulant, mon cœur rate un battement tellement mes sentiment, mon désir et ma passion m'envahissent... Ces mains glissent le long de mon dos, caresse mes fesses et remonte pour me prendre dans ces bras. Transportais tel un plume, je l'embrasse nos soupirs se joignent. Il me dépose sur le lit... Il desserre le lien qui maintenais son pantalon, qui chute au sol, laissant son corps à nu et son désir à vue ...

Il viens se glissé sur moi, je sens que la nuit serras longue et tel que je l'avais rêvé si souvent. Nos deux corps commencent une danse sensuelle...

Je me laisse transporter dans ce délicieux moment.
Un fracas me reveille ... Je suis en sueur.

_OH NON!! criai-je en rabatant la couverture sur ma tête...

Je tente vainement de me rendormir, je ferme mes yeux , entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Il était là, assis sur un mur à l'extérieur de la propriété, rêveur songeur ... Je le regardais, l'admirais ...

Je m'approchais le plus discrètement possible mais il avait sentis mon arrivé. Il ne bougea pas. Je passais mes bras autour de sa taille et je posa mon front contre son dos. Une de ces mains viens se poser sur mes bras.

_Bonjour ma belle !

Je déposa un baiser dans son dos en signe de réponse, je ne voulais pas plus que sa chaleur pour me donner la force d'avancer pour cette journée.
Il sentait si bon, je respirais encore une fois à fond pour m'empreignais de ce parfum. Je desserra mon étreinte, mes mains glissaient sur son corps, mon front toujours contre lui. Il respira un grand coup,et se leva. D'un geste rapide il se retrouvait devant moi à quelques centimètres. Ces bras fort viennent me serrer il déposa ces lèvres sur mon front puis sur ma bouche délicatement, se doux baiser me transportais, et rempli mon cœur. Il relâchait ces bras laissant glisser ces mains comme je l'avais fait auparavant. Il dégagea une mèche de mes cheveux qui barrais mon visage, me fis sont sourire complice. Il me caressait la joue, j'avais l'impression qu'il lisait en moi. Il savait que j'aimais cette relation sans engagement, que j'en étais que plus heureuse car on avait ni l'un ni l'autre une impression d'enchainement. Il se détourna de moi et partis.

Je fis demi tour et couru jusqu'au château le cœur prêt à tout affronté ...

J'aime l'automne...

En courant je sentais le vent frais sur mon visage réchauffé par se bonjour si agréable.J'occultais tout autour de moi. Je souris.

Mon souffle cours je m'arrête dans l'embrasure de la porte. Au loin il me fit signe de la main, que je lui rendis rapidement.

Je regarde le sol, le sourire accrochait sur mon visage, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Le soir, la nuit, le froid... mais où es tu ???

J'erre dans le domaine, dans cette pénombre froide et si rassurante à mes yeux !
Le vent souffle, une fenêtre claque, je sursaute. Je descend les marches rapidement, on entend à peine mes pas dans les escaliers. Ma main cours sur le mur, la pierre effleure ma peaux, me l'écorche mais je le ressens même pas. Je presse le pas, je croise quelqu'un dans cette escalier en colimaçon je ne remarque même pas qui c'est tellement je file, je ne dois pas le raté ....

Je pousse la lourde porte, la nuit sombre est pesante, le premier éclair fend le ciel, les nuages grondent en se rencontrant, je me précipite prés du puits je me pose dessus à cheval un pied dans le vide. De lourde goutte me tombe dessus, je relève la tête, un second éclair enraye le paysage. un large sourire se dessine sur mon visage, la pluie s'abat de plus en plus fort. je commence a être trempé de la tête au pied. Le bruit du tonnerre me fait vibré, l'orage est au dessus de ma tête. je suis bien. le vent souffle et me rabat sur le visage mes cheveux mouillés.
Je pourrais rester là des heures, malgré le froid qui commence à m'enhardirent... je reste là, en espérant qu'il vienne me chercher, pour me réchauffer à la chaleur de sa peau, de ces baisers, des ces pensées ...

Je me sens vivante et vibrante, je cris son noms dans cette endroit bruyant et vide d'homme ...

Dans la pénombre,entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Un bain chaud....

Dans cette pièce moite et humide, je suis seule, quelques bougies illuminent maigrement le lieux.Je referme la lourde porte de bois, la lueur des bougies vacillent, je rajoute des buches pour que le feux s'active.

Je me déshabille, plis et pose mes vêtements sur une chaise, je noue une petite serviette sur mon corps pris par le froid, j'avais pris la peine de me faire chauffer de l'eau pour avoir une température plus qu'agréable.
Je rempli rapidement la baignoire, dispose mes affaires de toilettes à proximité, accroche une serviette prés du feu pour ne pas avoir froid en sortant.
Je contemple quelques seconde l'extérieur, sombre et dépeuplé à une heure si tardive... j'aime l'automne.
Je m'approche de la baignoire, laisse tombé la serviette qui entouré mon corps, j'effleure la surface de ma main, la température est chaude mais parfaite pour se prélassé. Je me glisse un pied puis deux dans l'eau chaud ,délicatement c'est tout mon corps que j'immerge et m'allonge, me cale dans cette baignoire.

Je regarde la bougie se consumait doucement. Le vent souffle dehors. J'aime l'automne. Seule dans cette pièce, je soupire. Où allais-je ainsi...

Je fermais les yeux, et c'est son image que je vis, son doux sourire, son regard profond. Ne comprenait il pas ce qui se passer. Son corps que je désirais, ces lèvres que je brulais de pouvoir avoir sur mon corps, de sentir sa langue parcourir les endroits les plus intimes de mon être. Je soupirais encore un grand coup. Je souris à l'idée de l'apercevoir en ouvrant les yeux. Je ne souhaitais pas les ouvrir de peurs de ne pas le voir. Mon cœur et mon corps, désiraient ardemment qu'il vienne me rejoindre dans l'eau et qu'il me fasse l'amour tendrement...
Que nos langues s'entremêlent,
Que nos corps se frôle,
Qu'il prenne les devants,
Qu'il assouvisse ces désirs,
Plantait mes ongles dans son dos, de désirs,
Mordre son épaule sous l'envie,
Caressais son corps avec passion...
Des scènes câlines, coquine me traversaient la tête, mes mains commençaient un chemin plaisant sur ma chair...

Seule dans mon bain,entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Un froid glaciale me parcoure l'échine, je suis peux couverte, dans se long couloir sombre... Je suis caché dans un coin sombre, accroupie, je suis tombé sur une explication théâtrale de Baron, et je ne pu m'empêcher d'assisté à la narration de ce récit. Je souris, je sursaute, je vie avec envie ces aventures. Je rigole doucement, j'aime ce personnage qui imite, il me fait penser à certains de chez nous.

Prise par le froid, je me décide à repartir me mettre au chaud dans ma chambre au coin du feu. Je me relève, et me heurte à quelque chose ...

_Aie !!! dis je en me frottant le visage

_Ma belle ... !!! Il me saisit le menton avec sa main et vint déposé un baiser rempli de tendresse sur mes lèvres.
Mon cœur manque un battement. Sa main est chaud, ces lèvres sont douce. Son autre main passe dans mon dos et me rapproche lentement de lui, pour que enfin nos deux corps soit collé. Sa chaleur viens me réchauffé, je suis bien, tellement bien.... mes yeux sont clos, mon cœur s'emballe, j'ai chaud, il est là. Il me saisit ma main me tourne le dos et m'emmène un peux plus loin...

Il s'assoit sur les escaliers et me tire à lui, je m'assoie sur ces genoux. Pendant quelques minutes, il me conte sa journée et me caressa tendrement, je ne dis rien j'écoute avec plaisir et bonheur. Mais mains lui caresse sont visage, et ces cheveux. Son récit je n'en perd pas une miette.

Il me sourit et me saisit la main. Je dépose un doux baiser sur le coin de sa bouche, puis un autre sur ces lèvres. Ma langue viens doucement caresser la sienne, son étreinte se fais plus forte, nos respirations plus rapide....

Mon corps brule de désir, des envies me prennent.

Dans ce couloir, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Depuis quelques temps déjà, j'observais son manège, l'air de rien. Elle papillonnait autour de moi, butinant ça et là les fleurs les plus odorantes jusqu'à trouver celle avec un parfum enivrant, là où l'abeille revient sans cesse se gorger de nectar (n'y voyez aucune allusion salace...).
Chaque occasion de rencontre ou d'entrevue, même de loin, me donnait le privilège d'observer ses manières ; des regards appuyés aux respirations langoureuses, jusqu'à des effleurements timorés mais au fond plein de passion.

Je dois l'avouer, je ne restais pas indifférent, loin de là, à ce ballet de séduction. Je lisais dans ces yeux à la fois de la tristesse, de l'espérance et de l'envie... J'étais près à me laisser guider par cette fragrance voluptueuse, prés à me laisser envouter. Je jouerais la pièce dans la quelle elle me conduisait clandestinement, à coup d'acte féminin tellement plein de persuasion, comme elles savent le faire...doucement ; jusqu'à l'acte final, le dernier chapitre dont j'ignorais l'épilogue.

D'abord intrigué, puis amusé, naquit en moi la passion de jouer les notes lascives qui accompagnaient ce ballet improvisé dont aucun protagoniste ne connaissait à l'avance, ni la réplique ni l'organisation scénique de l'autre. Quand elle se faisait pressante, je me faisais distant ; et quand je me glissais près d'elle, l'effleurais, c'était pour esquiver aussitôt la réponse tant attendue.
Loin du jeu du chat et de la souris, sans duperie ni arrière pensée malsaine, je me laissais envouter; Notre jeu devait durer sans se consumer comme un feu de paille.
Parfois narquois, je jouais de cette situation et m'en amusait intérieurement. Sans m'enliser, j'éprouvais jour après jour des sentiments qui m'avait fait défaut naguère.


Le jeu de séduction prenait des allures insoupçonnées. Si ses pensées la torturaient autant que moi, je ne pouvais me défiler continuellement, il me fallait me résoudre et répondre à ses avances, combler ses désirs et assouvir mon appétit grandissant. Baisers volés, caresses furtives ... humm cruel supplice , à la fois rude et doux ! Rapprochements et badinage ... tout cela devait cesser !



Je devais la voir, lui parler. En cette heure tardive, je savais où la trouver. Si elle n'errait pas dans les couloirs du domaine à la recherche d'un moyen d'apaiser ses ardeurs, elle serait surement dans sa chambre.

Je montais le long escalier de granit en silence. Les yeux fermés, je connaissais le chemin par cœur, une main frôlant les murs, je sentais battre son cœur au travers. Ses sentiments s'insinuait dans tout le domaine laissant transpirer ses émotions ; les élans de son cœur lisibles pour qui les recherchaient mais indiscernables pour les autres. J'enfilais le couloir à présent sûr de moi, heureux de n'y croiser personne, le domaine somnolait.

J'avançais en silence jusqu'à sa porte. Rien ne se faisait entendre au travers, mais elle était là, plus que de l'intuition mon instinct me le disais...non ; c'est mon cœur qui parlait. Je poussais la porte non verrouillée elle glissa sur ses gonds en douceur. Avant d'entrer des effluves de parfum m'assaillirent les narines, l'air était doux et portait avec lui des fragrances de fleurs du printemps, je restais un moment les yeux fermés à humer son parfum m'emplis de liesse et de passion ; j'entrais.


(sous vous désirez lire la suite, MP moi, je posterais à la suite...:)

.

Depuis quelques jours, je ne l'avais pas vus ...

Mon corps le réclamait, il avait froid sans lui. Seule, je me décidais à rejoindre la taverne. J'enfilais ma cape, la noua. Je pris soin de rajouter du bois pour ne pas retrouver ma chambre froide à mon retour.
Les yeux rivaient sur le sol, j'ouvris la porte. Je sursautais, dans la pénombre, j'aperçus un physique, grand et robuste. Je voulus lâcher un cris de surprise mais son doigt se poser sur ma bouche, il fit un pas dans la chambre et me fis reculer.

Son regard sombre plantait dans le miens. Je ne savais quelle attitude adopter.

Je restais sans mot dire face à lui. Il posait au sol, un sac, ces affaires... Il avait l'air exténué, les traits tirés. Je m'avançais lentement vers lui, et sans rien dire je l'aidais à se dévêtir. Il allait se coucher. Son silence était plutôt déconcertant.
A mon tour, je me fit glisser mes vêtement, et en rejoignant le lit, je remarquais, qu'il dormait déjà...

Je me glissais tendrement prés de lui. Je me sentais si bien quand il était là. Mon cœur brulait pour lui. Je lui caresser le visage, et déposais des baisers quand je tenais plus . Son corps me manquait. Je déposais un doux baiser sur son épaule nu, son odeur, son corps... J'aimais tous de lui.

Dans un mouvement, il de mit sur le dos. Je posais ma tête sur son torse. Son cœur battait à un rythme lent. Son bras viens m'entourer, sa main se poser sur ma hanche.

Malgré une envie dévorante de son corps, de sa chaleur, de sa bouche, de ces lèvres... Je me contenta du contact de sa peau. Il était à présent mes nuits, mes envies, mes désirs. Il savait que sans parler, je le comprenait, il savait qu'il serait bien à mes cotés, que se qu'il faisait m'importe peux du moment qu'il sentait bien avec moi et qu'il me restait ....

Je laissa échapper un Je t'aime ....

Ma peaux contre la sienne, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Je le cherchais dans les couloirs. Comme toujours, j'avais trop passer de temps sans lui, sa peau, son corps, ces lèvres ... Son être me manquer. Mes doigts frôlait le mur de pierre. Je repensais, relatais ma vie de ces derniers jours. Je repensais à ces si bon moments avec lui. Sa chaleur, sa force, sa douceur....

Il était distant ces temps si, froid et loin.

Que ce passe-t-il ? Murmurai-je en baissant la tête.
Je pressais le pas. Je le voyais pas nul part, mon cœur était triste. Après un avoir parcourus une bonne grand partis de la demeure, arpentais les escaliers, les jardins, la taverne et les ambassades. Je me sentais oppresser par ce manque, affoler de ne pas le trouver, inquiète. Je me stoppais machinalement près de cette endroit.
Je m'accroupis dans mon petit coin préféré. Ce petit coin qui me permettais de voir la cour interne, les accès principaux. Je patienta un long, un très long moment, un trop long moment.
Les larmes coulaient à flot. La froid et la fatigue me gagnaient rapidement. Je finis par m'endormis, seule et triste dans mon recoins sombre.

Dans mon recoin,entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Seule dans mon lit, je passais ma main sur sa place. Il me manquait, j'avais froid sans lui. Dans un long soupir, j'avais l'impression de sentir son odeur, je portais sa chemise...

Je me décidais à me sortir du lit, le soleil, me donnais envie, de partir, de me promener.

J'enfilais ma robe, rapidement, relevais mes cheveux, seule une mèche entraver mon visage.En passant devant le miroir, je resta des nues en voyant un papier coincé...

Je l'attrapais rapidement...

" Je reviens vite ma belle..." Mon cœur battit la chamade, il est venue, c'est lui que j'ai sentie, il était prés de moi, il ne m'oublie pas. Je souris, je pressa le papier sur mon cœur.

Mon regard fit le tour de la pièce, au pas de la porte, une autre feuille, je me précipitais dessus.

"Tu me manques aussi ...", mes yeux parcourrais la pièce, je n'en vis pas d'autres. J'ouvris la porte, et sur le sol une rose rouge et une autre feuille.
Je me penchais pour attraper c si précieux bien à mes yeux.

Cette rose sentait si bon, je dépliais le papier, ce qui est écris à l'intérieur, et le descriptif de ce qu'il aurait aimer que l'on fasse pendant une nuit, une vie, pendant son envie ... Mes joues s'empourprèrent à l'idée, une envie, un feu se raviva dans mon cœur et mon corps.

Seule devant ma porte, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Seule devant ma porte, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...


... ... ... Comme un appel dans ma tête, une intuition, un préssentiment...
J'étais absent depuis si longtemps, il me semblait. Cramponner aux affres de la désolation de mon âme, je m'étais mis hors du temps et des réalités...

Cela devait changer!
Je m'étais à profit mon long éloignement afin de corriger la scission que j'avais moi même mis oeuvre, inconsciemment.

Je pensais très fort à ce que je lui dirais " Pour connaitre la suite ma belle, je t'invite à suivre ce chemin!

Depuis notre périple sur l'eau, je n'avais qu'une envie le retrouver au plus vite ... Tout deux avions le temps de rien, toujours a entreprendre diverse choses au quatre coin de notre contré mais tout les jours, comme on se l'était promis ... on regarder vers le ciel et on s'adressait un petit message...

Dans la cour, le soleil chaud chauffé mon visage, malgré que ce fut la fin de l'après midi. Je n'avais pas encore adresser mon message à mon homme. Je fixais le ciel fermais les yeux ...

"Où que tu sois, tu me manques et je ne pense qu'a une chose le moment où nos 2 corps seront côte à côte, et que ton corps réchauffera mon cœur " ...
Les yeux fermaient, je visualisais les derniers moment passer ensemble, je m'étais endormie dans c bras, il me caressait les cheveux et avant de m'endormir j'entendis seulement, " je suis là ma belle, endors toi paisiblement" ....

Un souffle froid, me fit frissonnais, et c à ce moment là que je sentis ces lèvres sur les miennes. Son geste tendre et remplis de tendresse me donna la chair de poule, embrasa mon corps.

Bonjour, ma belle ... j'ai entendu ton appel !!! je me blottit tous contre lui, et m'agrippais fortement ... Il sentit mon envie d'être rassurer et m'enveloppa de ces bras ....

Tout contre lui, entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

https://www.youtube.com/watch?v=VpbYscfWsCc


Winog ..... tu m'as conquis, tu m'as séduit, tu m'as fais vivre, aimer et rêver.

mon cœur, mon corps, mes pensées ..... SI tu devais me laisser ... Je ne sais si je pourrais me relevé !

En lisant sa lettre, je m'effondre ....

En larmes,entendra-t-il, le cri de mon cœur, de mon corps ...

Depuis ton départ, et sachant que son retour serait du domaine du miracle, mon cœur était en peine constamment, il me manquait tant cet homme, qui supportais mes frasques et mon caractère et qui savait m'aimer tel que je l'étais ...

Winog, tu me manque temps...

J'espère encore ton retour, et je le guette, tout les matins.

Certain, me disent de renoncer, de laisser la place à de nouvelle chose, mais je ne trouverai jamais un homme à ta hauteur.

Plus les jours passés, plus je ressentais moins le manque de lui !!!

Même si régulièrement mes pensés étaient pour lui ... Depuis son départ, je n'avais pas de nouvelle, je ne savais plus quoi faire, pour le retrouvé !!!

Mais où étais tu ?

Face à la fenêtre, je portais sa chemise, ou son odeur commencer a disparaitre, mais je pouvais le sentir encore.

Les choses changer, j'avais tenter de partir, tenter de le retrouver mais ce fût en vain ... J'étais revenue prés de ma famille.

Je pose ma main sur la fenêtre, une larme coule sur ma joue, mon coeur se sert.

Aurevoir mon amour.... mais je ne pe pas te dire adieu !! je n'y arrive pas

tout était finis .... il était partis, quitter notre belle famille.


Je me devais de tourner la page !

Je posais ces affaires dans mon coffre au pied du lit, je pliais avec soin, ce qu'il avait laisser dans ma chambre. En fermant le coffre, je fermais notre histoire......


C'était belle est bien finis.

Je m'allongeais et pleurer toutes les larmes de mon corps.

( Rp finis ... Winog aillant quitter la guilde et ne répondant plus à mes messages )