[HRP] Ziberna : L'histoire d'une vie

... peut être bien mais qui c'est qui m'a courrue après??? et je crois pas que tu était plus vêtu que je ne le fut...

Oui il avait un casque pour cacher son intimité

Voilà ! moi au moins j'avais un casque !!!

Un casque c'est pas grand chose
Dans mon souvenir tu avait salué du monde avec alors résultat des course ton intimité on l'a vu

Il n'existe plus de preuves

Eli... tu n'as pas conserver tous les rp de chez Les Anges Noirs ? :face:

Et non

Je pense qu'elle le gardera pour elle vu qu'elle finit nu elle aussi dans l'histoire... tu as de la chance ^_^

Je suis le Baron chanceux

Heu malheureusement je ne suis plus sûre d'avoir tout récupérée... je sais que Busard à au moins celui des arraignées noires, je crois bien avoir récupérer celui dont ont parle mais pas sûre qu'il soit complet ... malheureusement.

Enfin si je remet la main dessus je vous le posterais là :face:

C'est gentil ^_^

en voici déjà un premier :



"Où suis je?" La brume qui m'entoure ondule lentement m'empêchant d'apercevoir clairement ce qui se dresse devant mes yeux, lorsqu'un un souffle lève le rideau devant mes yeux ébahis.

Le décor à drôlement changer... Ma chambre à laissez place à une petite combe où siègent des vieilles ruines noircies, qui me replongent dans de bien sombres souvenirs...

Eliyane, Eliyane, ma petite aller! Dépêche toi, viens donc m'aider à remettre de l'ordre dans la cuisine au lieu de bailler aux corneilles!

Vivement je me retourne, découvrant une belle femme d'une trentaine d'année, aux longs cheveux châtains, son visage me ressemble énormément...
Non ce n'est pas exact c'est mon visage qui ressemble au sien. Interdite je reste là à contemplez ma mère, tranquillement debout devant moi qui me sourit...

Ma... Maman ? Mais c’est… c’est imp... enfin.. tu es morte !

Allons, qu’as-tu encore imaginée ma petite chérie mmh ? Tu as dû faire un cauchemar tout simplement, tu vois bien regarde moi ! Aie-je l’air morte ?

N.. non… mais…, enfin je…

Aller cesse donc ces bêtises ! Suis moi !

Incapable de faire le moindre geste je suis ce spectre, - ou bien est ce réellement ma mère ? – complètement perdue dans mes pensées… « Mais que ce passe t il ? ». Nous arrivons chez nous, je reconnais la maison, et la cours qui a vue mes premiers pas sur cette terre. Mon frère est là qui nous salut d’un geste de la main le sourire au lèvre, en train de parler avec Lucie, sa conquête du moment. « Tiens je ne me rappelais pas cet aspect de sa personnalité… » Au moment même où nous passons le pas de la porte une petite fille se précipite dans mes bras en s’écriant :

Eli, Eli !! Où t’étais? T’avait promis de zouer avec moi! Je scrute ce petit visage boudeur, Millie, dans mes bras, qui me regarde d’un air mécontent.

Euh ah désolée… J’aie oubliée… J’aie dû m’endormir un peu.
Je te promets qu’on ira s’amusez cet après midi, d’accord? Ajoutais-je devant la petite frimousse qui commençait à sangloter, qui aussitôt s’illumina à ces mots.

Vrai ? Tu m’oublieras pas encore?

J’avançais mon poing fermé, le petit doigt tendu en avant, « c’est une promesse ! » déclarais-je. Aussitôt son petit poings s’avance et son doigt s’empare du mien, « d’accord, alors ! ».

Je tourne la tête, pour regarder notre mère qui nous regarde en souriant, quand mon regard tombe sur le grand miroir du couloir, dans l’entrée. Je m’y tiens, Millie dans mes bras, mais mon reflet ne montre qu’une petite fille de 12 printemps. Le décor derrière moi n’est pas le même, des flammes lèchent, les murs de la maison.

Surprise je me retourne brusquement, le décor a encore changé, je suis dans une grande prairie, la lisière des bois est proche. Ma mère nous tient par la main, Millie et moi, nous courrons toutes les trois, seules. Le village derrière nous n’est plus qu’une colonne de fumée, noire, grasse… Soudain, un martèlement se fait entendre derrière nous. « Là ! Des survivants ! », Puis une autre voix « Personne ne doit s’échapper ! Il faut faire un exemple, de ces manants qui ont laissés des partisans du prince, s’enfuir ! »
Nous accélèreront, encore. La forêt n’est plus qu’à quelques mètres. Mais soudain, ma mère s’affale dans l’herbe.

Eliyane, mon trésor ! Écoute moi, continue avec ta sœur, je vous rattraperai ensuite ! Prends ceci avec toi Elle me glisse quelque chose dans la poche… Allez ! Ne vous retournez pas quoiqu’il arrive ! Courrez vers la forêt et cachez vous y!

« Non, pas ça! Pas encore! »

Allongée sous la couverture, je m’agite, sans toutefois me réveiller. Inquiet Baroncrapo se rapproche « Eliyane ? »

Je suis seule. Errante dans la forêt, Millie a disparue… Je m’élance à travers les sous bois, désespérée, je sais ce qui va arrivée… vite la retrouvez! Il le faut! Ou sinon…

MILLIE!!! MILLIE OU EST TU? Incapable de résister plus longtemps je l’appelle en criant, sachant pertinemment que je révèle ma position à tout agresseur potentiel. Je m’en moque, Millie à besoin de moi!

Un petit cri me répond : « Hiiii!!! Eli aide moi!! », Suivit d’un martèlement sourd…
Je me précipite dans cette direction, au moment même où le petit corps de ma sœur est transpercé de part en part par la lance d’un cavalier. Lancé en pleine course, il abandonne là son arme encombrante, piétinant ma petite sœur sous les sabots de son destrier.

MILLIIIE!! NOOONN!!!

Horrifiée je me précipite vers le petit cadavre trop amoché pour être réellement reconnaissable, je m’effondre à genoux, mes larmes formant une petite mare à mes pieds.

Pauvre petite… Comme c’en est écoeurant tant d’amour pour une si piètre chose… Pouah! Je me demande bien pourquoi je reste là à tes cotés, stupide gamine!

Je me redresse, et me retourne une lueur de meurtre dans les yeux, prête à tuez le propriétaire de cette voix désincarnée. Je tombe nez à nez avec… moi-même.
Les mêmes cheveux, les pommettes, le nez la couleur des yeux, leurs éclats, jusqu’à la cicatrice qui me barre l’arcade sourcilière droite. Mais c’est une moi différente, son regard est dur, cruel, son sourire ne montre que mépris pour son interlocutrice.

Oh? Que signifie ce regard moucheron? Tu rêverais de me tuer, pas vrai? Et tout ça pour quoi? Pour cette petite emmerdeuse qui ne faisait que te gêner? Tiens ça ne te plais pas ça!

Sais tu seulement qui je suis? Non? Bah, tu mériterais des baffes! Je suis une partie de toi qui a pris vie, si profondément enfoui en toi. Oh tiens tu t’intéresse à ce que je raconte maintenant? Tu me déçois beaucoup… Nous aurions pu faire tellement de choses, si tu me laissait m’occuper un tant soit peu de nous…

C’est quoi ce délire? Une partie de moi qui pense seule? N’importe quoi! Je nage en plein cauchemar.

Ca tu ne crois pas si bien dire sale garce! Sais tu seulement ce que j’aie endurée pour pouvoir trouvez la porte de tes rêves? Non, nous sommes liées l’une à l’autre. Je t’aie laissée t’amusée mais maintenant c’est finit! A mon tour d’avoir le pouvoir!

Aussitôt elle brandit son arc sur moi et décoche une flèche, qu j’esquive tant bien que mal. Je me redresse, et arc en main je m’apprête à mon tour à tirer. Nous sommes face à face, tel le reflet du miroir, chacune une flèche encochée. Les cordes se relâchent, les traits sifflent en prenant leurs envols, au moment où ceux-ci auraient du ce percuter il semble se passez à travers… trop éberluée par ce prodige je ne prends pas garde, la flèche frappant ma tête, me rejetant en arrière, tout comme mon double qui vient de recevoir mon tir en plein dans l’œil.

Aussitôt, je suis assaillie par une foule de sensations toute plus désagréable les unes que les autres, tantôt mon corps, brûle, tantôt il gèle. J’aie la sensation que des milliers de lames passent sous ma peau, m’écorchant vive, mon cœur m’est arrachée, tout mes os son broyés sous une formidable pression…

Désormais, complètement en nage la couverture à glisser, tant mes gesticulations sont violentes à présent. Mes gémissement, à peine inaudible son devenues des cris de souffrances, vrillant les tympans de Baroncrapo, affolé.

Eliyane, nom de Dieu… réveille toi, Eliyane!

Me secouant en tout sens, pour me réveiller, mon camarade s’apprête à lever la main pour tenter de me réveiller avec une paire de gifles, lorsque d’un coup, je me redresse, hurlant

NOOOONNNNN!!!!

Je m’agrippe désespérément à lui, lui écrasant les côtes sous mon étreinte…Je n’arrive qu’à balbutier en proie à une crise de larme :

Ne la laisse, pas approchez! Garde la loin de moi, je t’en supplie ne la laisse pas me prendre, ne la laisse pas…

Vaincue par l’émotion je ne peux continuer, tant les larmes me montent aux yeux, les sanglots me secouant le corps achèvent de m’empêcher de parler…

Tas de veinard!!! J'ai retrouvée le rp complet dont le texte ci dessus n'est qu'un piètre fragment!!

Bon par contre ça fait 24 pages sur un document word alors j'hésite...

Met une page par jour

héhé un post par intervention sinon? ca faisait bien 7 pages chez nous il me semble :face:

Je ne sais plus combien de page il y avait mais sa en faisait pas mal ^_^

Un post par intervention c'est bien aussi ^_^

Et dire que j'avais pas eut le temps de le lire chez les anges noirs :P

s'tu veux je te le passe par msn Death :)

Mince.. mais ..

Euh...

C'est truqué !!!

Nan c'était du direct :D jusqu'à la moindre de tes fautes d'orthographe!! XD

C'est des fautes truqué !

Non je suis témoin

T'es qu'une balançe !!!!

D'accord, je retient

Une jolie balançe...