Il faisait déja nuit noir. Un parfait croissant de lune se dessinait. Les Vindicatrices dormaient tous très profondément à une exeption. Coupet ne trouvait pas sommeil, les yeux grand ouverts, il ne pensait a rien.
Il se leva lentement, enfila rapidement sa cape grise ainsi qu'un short vert foncé et attacha son cinturon. Il ouvrit la porte de bois et descendit l'escalier en collimasson d'un pas lent. Il se trouvait a présent dehors. Un vent froid lui carressa le cou. Il s'agenouilla sur le sol poussièreux, le regard tourné vers le ciel. De longues minutes passèrent. Coupet pensait, il pensait a cette guerre insecente, tous ces soldats qui avient donné leur vie pour leur maitre, pour un méme cause : le pouvoir. Chaque jour, un ami, un compagnon, un frère d'arme mourait. Chaque jour, Coupet versait des larmes. Trop de souffrance.
Après un long moment de réfléxion, il se rendit compte qu'il n'était qu'un archer, il restais aux dernières ligne pour tuer des ennemis sans méme voir leur visage. Il voyais des guerrier mourir en brave, se battant pour Zelandra comme des diable, jusqu'à leur dernier souffle ils donnaient leur vie pour un monde meuilleur, un monde de paix. Il sortit d'élicatement une dague coincé dans son cinturon.
Il plaça l'arme a hauteur de sa gorge, prit une inspiration et cri :
"Pardone moi Tout Puissant, Pardone moi d'avoir été lache"
Soudain, il fut prit de vertiges, il ne controlais plus ses muscles.
Il lacha la dague qui vint se planter dans sa cuisse droite et s'écroula.
HRP: j'ai moi même versé quelques larmes en écrivant ces mots devant mon écran d'ordinateur...