La Mort D'Iryllia

Musique

Le jour de notre de naissance nous entrons pour la première fois en contact avec l'oxygène. Il nous permet de respirer donc de vivre. Mais avec le temps il oxyde nos cellules nous entrainant vers une mort certaine... La vie est un paradoxe, ce qui commence a une fin engendrée par son début. Quel est le sens de tout cela ? Quand nous fabriquons une arme, se retourne-t-elle forcément contre nous ? L'amour qu'on donne sera t'il une haine en retour ? Dans le ciel une étoile s'éteint... Qui sait si une autre la remplacera, plus brillante...

Une histoire de tout les jours : Les Larmes Du BaronCrapo

Il est tard, la nuit complice de l'obscurité de mon cœur prend un malin plaisir à m'envelopper dans mon coin d'une chape de noirceur lourde, pesante. Depuis combien de temps suis-je là, seul dans le noir, les yeux ouverts et fixes à regarder au delà de ma vue, au delà de mes sens. Ma chemise est encore couverte de son sang, une trace de sa main juste au dessus de mon cœur, son dernier cadeau, un geste qui marque mon âme et imprègne mes souvenirs d'une marque indélébile. Jamais la jeter je ne pourrais, la laver encore moins, elle est mon pêché, ma dernière lâcheté. J'aurais peut être pu, je ne sais plus... Cette journée fût si longue et si courte à la fois, mes souvenirs se mêlent à ce que j'appris par la suite, je ferme les yeux pour la revivre, espérant sottement en changer le cours, mendier un ultime recours à ces dieux égoïstes que j'apprends à haïr aujourd'hui....

Le printemps débutait son œuvre, les arbres commençaient à verdir, et les premières fleurs recouvraient le sol. On pouvait entendre les chants nuptiaux d'espèces d'oiseaux variées. Un ballet incessant les amenait à descendre au sol pour récupérer de quoi construire leurs nids, ce spectacle me ravissait chaque année tout autant. Ce jour là j'avais rendez-vous avec la belle Iryllia, nous étions convenu de passer l'après midi et je l'espérais une partie de la soirée ensemble. Depuis quelques temps des mouvements ennemis isolés ont été repérés aux alentours de Cyrosh. Nous avions dans l'idée d'y mettre un terme tout les deux, en amis. Il n'y avait quasiment pas de risque...

Le temps de nous revoir sonnait en même temps que le tocsin qui alertait la population quelques heures après le déjeuner. Dans une clairière connue de nous deux, nous nous étions donnés rendez vous. J'avais mis mes plus beaux vêtements et arrangé mes cheveux élégamment, nos rencontres étaient rares et il me plaisait d'être présentable pour elle. Elle était magnifique, un rayon de soleil se posait sur ses cheveux scintillants, je restais quelques instants à la regarder sans qu'elle ne me remarque.

Iryllia : "Ah ! Te voilà enfin baron, j'ai faillis t'attendre !"

Baron : "Excuses moi, je me suis égaré un instant... "

Iryllia : "Viens, suis moi, ils ne sont pas loin... "

En effet, à moins de dix minutes, se trouvait un groupe de trois Exilés. Nous restions coller l'un à l'autre derrière un buisson pour évaluer leur puissance...

Iryllia : "T'as pas bientôt fini de te coller à moi !!!?"

Baron : "T'es marrante, si je dépasses ils nous repèrent ! Et chuchote plus bas, tu vas finir par nous faire repérer... !"

Iryllia : "Un guerrier, un archer et un mage... Pas de moine. Ce sera du gâteau à nous deux."

Baron : "Je trouve que tu sens très bon ... "

Elle me jeta un regard glacial...

Iryllia : "Et moi je trouve que tu choisis bien ton moment. Je m'occupe du mage et de l'archer. Toi tu distrais le guerrier..."

Baron : "Pourquoi c'est pas moi qui en prend deux ? Sans vouloir y redire... Je suis un peu plus aguerris que toi..."

Iryllia : "Pourquoi ? Car je les veux ! Hi hi hi !"

J'adorais la voir sourire, même dans ces moments où l'on prend des risques. C'est plus fort qu'elle de vouloir se mettre en danger pour protéger les plus faibles, et les plus fort aussi. Une sale gamine capricieuse avec le cœur d'une maman...

Nous mettions au point notre stratégie, assez banale, surprendre, pour avoir l'avantage, et foncer sans reculer. Elle devait abattre le mage d'un coup, et moi occuper le guerrier, le temps qu'elle finisse l'archer. A première vu ce n'était pas des débutants, le combat pouvait s'annoncer long...

"J'y vais..."
Dit elle soudain...

" C'est partis !"
Dis-je avec un grand sourire.

Le guerrier était assis sur une souche, pensif ses bras pesant sur son épée à demi enfoncée dans la terre. Au sol un sac assez grand, en me rapprochant, je le vis bouger, sans doute une bête qu'ils ont capturée. Le mage était accroupi tournant le dos au guerrier, il mélangeait des potions, alchimiste sans aucun doute. Quand à l'archer, il débutait l'escalade d'un arbre sans ses armes... Le moment était idéal !
Iryllia, lança une boule de feu sur le mage, qui propulsé par tant de force vint se cogner contre la souche, réveillant le guerrier brutalement, ce dernier commençait à se retourner quand je lui fis face...

"C'est moi ton adversaire !"

Le mage était sérieusement sonné, mais il était encore en vie. Iryllia approcha pour le finir avant qu'il ne riposte, c'est se moment que choisit l'archer pour lui bondir dessus en hurlant, il tombèrent tout deux en arrière... Quand à moi, je me rendis compte que ce foutu guerrier était un adversaire résistant et impressionnant. Il profita d'un instant de mon inattention ou je vis ma compagne tomber pour me blesser le bras dans la longueur.

Elle menait son combat comme une chef, repoussant l'archer, elle eut juste à lui mettre un bon coup pour le voir tomber à ses genoux. Le mage par contre était déjà debout et attaqua avec ce même sort qui l'avait à demi calciné. Elle esquiva en parti et trouva un tronc pour l'empêcher de tomber, reprenant son souffle elle eut la force d'achever ce mage récalcitrant. Et pendant que je combattais mon guerrier... Elle prit son temps pour récupérer leurs insignes ensanglantés, puis elle s'assit tranquillement et me regarda en disant :

Iryllia : "Iryllia - 2 , Baroncrapo - 0 ! Alors t'attends quoi pour le finir ? Qu'une faible princesse t'aide ? "

Suffoquant de douleur, essouffler de mon combat qui durait un peu de trop, faisant fis une fois de plus de ma magie, je simulai un sort, ce qui mit le guerrier en position défensive s'attendant à encaisser un coup. Je fonçai sur lui, et par surprise lui arrachant son épée des mains, je la lui plantai dans son ventre.

Baron : "Avec les félicitations du BaronCrapo !"

Nous avions l'air beaux, elles les cheveux ébouriffés, les vêtements noircis. Moi a demi couvert de sang, un bras pendant au long de mon corps. Elle me fit signe d'approcher...

Iryllia : "T'es vraiment pas foutu de combattre proprement, viens je vais te faire un bandage..."

Je m'assis près d'elle...

Baron : "Aurais-je le droit au baiser du vainqueur ?"

Iryllia : "Crève !"

Dit-elle en serrant fortement mon bandage fait avec un bout de sa robe... Avec son petit sourire espiègle en coin.

Le sac continuait à bouger, je donnais un coup de pied dedans, pas trop fort... Et là j'entendis un drôle de son... Je me précipitais pour l'ouvrir, et mes doutes s'estompèrent, un moine cartelois y était attaché, bâillonné... Une fois défait nous le questionnâmes. Il nous raconta avoir été frappé puis enlevé sans savoir réellement ce qu'on lui voulait. Il était coulant de sueur, le pauvre était en état de stress avancé. Nous lui proposâmes de le raccompagner au monastère le plus proche. Il avait vraiment une drôle de tronche, le genre patibulaire ne convient pas du tout à un moine.

Nous marchions tout deux en tête, le moine nous suivait, soudain Iry mit sa tête sur mon épaule. Je m'arrêtais pour lui faire un de mes sourires de vainqueurs qui l'énervait tout particulièrement, mais elle s'agrippa de tout son poids... Me retournant vers elle mon sourire se crispa laissant un rictus d'horreur envahir mon visage.

Les yeux livides, un filet de sang coulait au coin de sa bouche. Je me retournais pour dire au moine de la soigner, mais il n'était plus là, je compris alors... Un coup de dague dans le dos, voilà son seul remerciement. Un geste de traitre, vil lâche qui court au loin fière de son méfait. Je me mis à genoux et la soulevais puissamment faisant pression d'une main sur sa blessure, lui chuchotant de vivre, de tenir jusqu'à Nowendul où les moines la remettraient sur pied. Je débutais ma course, prenant chaque choc dû aux aspérités du chemin, les atténuant pour son corps.

Iryllia : " Baron, pose moi... C'est la fin... "

J'étais en larme, je me refusais à l'écouter, je marchais aussi vite que possible maudissant cette nature qui ne prévoit pas d'ailes aux hommes pressés, course folle contre le destin lui-même. De tristes pensées m'encourageaient à aller toujours plus vite. Je luttais contre ces visions noires, les nourrissants d'espoirs, pour une meilleure visualisation d'une bienveillante guérison.

Je n'entendais plus que son coeur battre au ralenti, son souffle s'estomper, le battement de ces cils... Je ne voyais plus la forêt, juste la lumière au bout du chemin... Je n'ai plus de corps, plus de douleur, plus de souffle. Je suis une énergie qui l'emmène vers son salut, je m'oublie pour mieux la servir...

Iryllia : "Poses moi... vite... "

Je finis par céder, et sur le bord de ce sinistre chemin, la gardant dans mes bras, je me posais au sol. Sa robe se souleva laissant voir le haut de ses cuisses. Je la rabaissais en douceur sans arrières pensées, elle ne s'en rendit pas compte tant la vie ne l'habitait plus qu'en haut de son corps.

Iryllia : "C'est un beau jour pour mourir..."

Elle se tourna vers ce ciel d'un bleu magnifique, où deux papillons blancs se dirigeaient dans une danse voluptueuse, le chant des oiseaux pour toute musique les accompagnaient dans leur ballet nuptial, elle prit ma main celle couverte de son sang, et si naturellement elle l'a porta sur mon cœur...

Baron : "Tu ne peux pas mourir... "

Iryllia : " Tu lui dira Baron ?... A mon amour... Tu lui dira que je l'aimes ? "

Baron : " S'il te plait... Oui je lui dirais... Mais laisse moi t'emmener... "

Iryllia : "Merci baron... Pour tout... D'avoir toujours été là... Surtout aujourd'hui..."

Baron : "Shuuuut... S'il te plait..."

Iryllia : "Adieu baron... A ma façon... Je t'ai toujours beaucoup aimé tu sais... Je... Je..."

Baron : "IRYYYYYYYYYYYY"

J'ai hurlé, brisant l'espace d'un cris surhumain, les arbres ont tremblé, la foret c'est tu, attendant un signe pour se remettre à vivre. Le temps s'arrêta, le vide s'installa. Dans mes bras, celle que j'aimais parfois de trop, n'était plus qu'une masse de chair et de sang, pesant sur mon corps sans la légèreté de son âme. Une enveloppe vide, le papillon quittant sa chrysalide. Une lumière sembla monter dans le ciel, peut être un effet du soleil me brulant les yeux couvert du sel de mes larmes. J'espère que tu es libre, de toutes contraintes, cette liberté que tu as toujours voulu, celle de voler sans retenue...

Mon corps, mon âme, je les perdais aussi, l'envie de la suivre me parcourait les veines. Je n'avais plus de force, je n'étais plus... Je ne sais comment je trouvais la force de la soulever en la serrant fort contre moi. Surement ce qui au fond de moi commençait à germer. Une graine de haine et de folie vengeresse. Des années, qu'elle n'avait pas été réveillée. Elle se propage vite, noircissant mes humeurs, elle réveille mon corps dans la douleur. Une rage me secoue, me donnant la puissance. Dès lors je n'aurais de cesse, dès lors il devra vivre dans la peur, dès lors il m'aura derrière lui, je serais son ombre, le démon de la peur, ses rêves seront cauchemars où je me glisserais le hanter. Il ne trouvera jamais de cachette pour échapper à ma colère. Sombre assassin, tu paieras ton crime et ma douleur sera tienne !

Sa dépouille devenait légère de par ma haine. Sortant de la forêt, devant les premiers villageois que je croisais, je ralentissais le pas, pour leur montrer à tous qu'un malheurs arriva. Tous stoppèrent leurs activités, quelques chuchotements remplacèrent les discutions bruyantes. Aux yeux de tous j'arrivais à Cyrosh, si animé qu'elle fût en un instant elle se tu. Les yeux brillants de larmes, tous la reconnaissaient, tous savaient la perte qu'elle représentait... Le cartel tout entier était en deuil...

Après avoir confié son corps à Nowendul où les moines la prépareraient pour son dernier voyage, sa dernière demeure, je retournais sur les lieux maudits où elle perdit la vie... Ne trouvant que peu de trace, j'arpentais inlassablement la forêt, scrutant le moindre indice. Rien... Était il possible que je ne puisse jamais venger sa mort ? Le soir annonçait la nuit, une première couche sombre rendait mes recherches encore plus compliquées. C'est là que je vis, ce papillon, lumineux d'un dernier rayon de soleil. Je courrais après lui comme guidé par une force qui réchauffa mon cœur, si froid. Je le perdis de vue, mais au sol j'avais foulé des pieds une sorte d'étoffe, je m'agenouillais pour l'observer. La robe du moine... Je la pris fermement oubliant ma répugnance, me retenant de la déchiqueter. Un bandeau tomba d'une poche, il avait la couleur du sang... Un bandeau rouge royaliste... Ma chasse ne fait que commencer...

Et je me retrouve dans ma chambre, mon domaine est silencieux, demain matin on ne sonnera pas le réveil, cette journée sera celle de l'hommage à la princesse. J'ai mal aux entrailles, mal au point de ne plus savoir crier, mal... si mal... Des heures à pleurer, à me souvenir, à me torturer de n'avoir pas été capable de faire... De voir... De... Je sens mes larmes qui reviennent et abondent, elles sont ma colère, ma haine et ma rage. Je les sens sortir de mes yeux par flots lent et liquoreux. Elles sont chaudes comme ce qui brûle mon être. Elles sentent le fer de l'épée qui pourfendra le meurtrier. Elle sont de sang mes larmes...

On y croyait plus... Et pourtant le voici enfin ! Un grand merci à Tifni de m'avoir corriger !

Bonus 1 : Le bêtisier !

Scène 2 : Baron et Iry se retrouvent / 1ère !

*Baron s'écroule au sol de tout son long*
Baron : "Et merde.... "
Iryllia : " Hi hi hi ! T'es vraiment pas doué !"
*Baron se relève...*
Baron : "c'est à cause de cette foutu branche... "
Iryllia : "Tu trébuches sur des brindilles fébriles ? "
Baron : " Une grosse brindille fébrile, oui ! Alors on la refait et qu'on me dégage les obstacles ! merci !"
Iryllia chuchote : "Comment il se la pète... "
Baron chuchote : "Je t'ai entendu"..

Scène 2 : Baron et Iry se retrouvent / 2ème.

*Baron arrive avec l'air fièr des conquérants anonymes*
Baron dit : " Coucou coupine !..."
Iryllia dit : "... "
Baron dit : " Mince.. le texte... On la refait ?"

Scène 2 : Baron et Iry se retrouvent / 3ème.

*Baron arrive avec un air prétentieux...*
Iryllia pouffe : "Pfff... t'as l'air bête... "
Baron dit : "C'est malin, j'étais super concentré, moi ! Bon, on la refait !"

Scène 2 : Baron et Iry se retrouvent / 4ème.

*Baron arrive le sourire aux lèvres... *
Iryllia dit :"Ah ! Te voilà enfin baron, t'as ton texte ?"
Baron dit : "Tu le fais exprès, en fait ? "
Iryllia hilare : "Oui Muhahahaha"

Scène 2 : Baron et Iry se retrouvent / 5ème.

*Baron arrive avec une tronche de deux mètres... *
Iryllia dit : "Ah ! Te voilà enfin baron, j'ai failli t'attendre !"
Baron dit : "Si tu me faisais pas des plans de m... Et mince... On la refait ?"
Iryllia dit : "T'es grave... On n'en a pas un autre pour le second rôle ? "
*Iryllia fait sa tête de petite princesse angélique*

Scène 3 : Baron et Iry derrière les buissons / 3ème

Baron chuchote : "c'est toi, cette odeur ?"
Iryllia chuchote : "ben non, je croyais que c'était toi !"
Baron chuchote : "Attends, ça vient de par là... "
Iryllia chuchote : "Oui attends, c'est... "
Baron hurle : "Et Merde ! C'est pas vrai ! Quel est l'abruti qui a choisi le seul buisson qui sert de chiottes à un troll ! Mon pantalon est .... C'est pas possible !"

Scène 3 : Baron et Iry derrière les buissons / 7ème

Iryllia chuchotte : "C'est vraiment dans le scénario que tu me colles ainsi... Mais c'est quoi ce truc que je sens tout dur ? "
*Iryllia se retourne et met une grande baffe au Baron*
Baron geint : "Mais c'est juste le bout de ma crosse ! "
*Baron retourne au maquillage*

Scène 3 : Baron et Iry derrière les buissons / 12ème

*Iryllia se lève... Scriiiiiiiiisssshhhhh*
Iryllia : "Mince ma robe... "
Baron Bavant : "Pas de culotte... Arg... "
*Iryllia se retourne en lançant une buche dans le bas ventre à Baron...*
Iryllia Gueule : "Vieux pervers !"
Baron Castra d'occasion : "IIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.. "

Scène 4 : Iry contre le mage et l'archer.

Archer : "taaaayyyyyooooo"
*Iryllia fait un pas sur la droite*
*Archer se vautre à plat à terre*
Iryllia : "C'est Baron qui m'a proposé de faire ça..."
*Archer se relève et décoche une flèche dans le bas du dos de Baron qui pensait plus loin à autre chose*
Baron : "AAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIEEEEEE"
Iryllia : "Tu vois archer, tu devrais crier ainsi, avec plus de conviction !*

Scène 5 : Baron contre le guerrier

Baron chuchote : "Allez, viens, fais pas ton timide"
Guerrier chuchote : "Gaffe, c'est une vraie épée... "
Iryllia chuchote : "Baron a dit que t'avais la force d'un chamala bouilli"
*Guerrier lamine Baron d'un coup de casque*
Iryllia hurle : "Equipe de soin d'urgence, le baron c'est encore cassé un ongle !!"

Scène 5 : Baron contre le guerrier

*Baron sort son bâton de mage... enfin là, un concombre*
Baron râle : "Non mais il est pas un peu pété, l'accessoiriste ?"
Iryllia moqueuse :"Vu la tronche des tes sorts, ça fait plus réaliste, non ? Hi hi hi "
Baron perplexe : "Mouais... Mais bon laisse pas trainer tes sex toys... "
Iryllia acrobate : "Tente le triple axel retourné sur la tronche à Baron"

Scène 6 : Découverte du moine

*Baron donne un grand coup de latte dans le sac*
*Iryllia saute sur le sac à pied joint !*
Le sac : "Aie ! mais vous êtes barges !"
Baron : "Iry, tu m'avais pourtant dit qu'il était plein de feuilles avant la scène !*
Iryllia :"J'ai du me tromper... c'est pas grave"
Baron : "J'veux pas dire mais le sac saigne, faudrait voir à réparer le gars où à le changer ? "

Scène 7 : Le meurtre

Baron chuchote : "Iry... pss Iry... à trois, on se retourne et on pousse le moine dans les orties..."
Iryllia chuchote : "D'accord ! 1 ... "
Baron chuchote : "hi hi hi... 2... "
Iryllia hurle : "3 !!! "
*Iryllia pousse Baron dans les ronces*
Baron geint : "Aie c'est pas le plan !!"
Iryllia rit : "Non c'est bien plus drôle ! Hi hi hi !"

Scène 8 : la mort d'iry

Iryllia Chuchote : "Je sens la confiture me couler dans le creux des fesses, ça colle"
Baron chuchote : "Imagine que c'est ta première tourista... "
Iryllia Chuchote : "T'es crade... "
Baron chuchote : "Suis peut-être crade mais j'ai pas les fesses qui collent !"
*Iryllia attrape des herbes urticantes et les place dans le froc du Baron*
Iryllia dit tout fort : "J'ai peut-être les fesses qui collent mais toi t'as le cul qui gratte et bientôt les doigts qui puent "

Scène 9 : Baron avec Iry morte à cyrosh

Baron chuchote : "C'est pas possible, t'as mis une enclume sous ta robe !"
Iryllia chuchote : "essaie seulement de vérifier et c'est toi le mort que je porterai.. "
*Baroncrapo lâche brusquement Iryllia au sol*
Iryllia gueule : "Mais t'es grave ! Il t'arrive quoi !!!"
Baron : "J'imaginais tes dessous et... flop plus rien... "
Iryllia : "T'es.. "

Scène 9 : Baron avec Iry morte à cyrosh

*Baron arrive tenant Iryllia dans ses bras*
Iryllia Chuchote : "Tourne-toi un peu sur la droite, y a du vent, là !"
*Baron tourne Iryllia vers la gauche*
Iryllia grommelle : "L'autre droite, crétin ! Grouille !!!!"
*Le vent soulève la robe d'Iryllia aux yeux de la foule triste*
Iryllia hurle : "iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"
Baron hurle : "Noooooooonnnn ! Je ne suis pas du bon côté !!"
Spectateur 1 subjugué : "Gasp..."
Spectateur 2 en transe : "Houps..."
Spectateur 3 comateux : "Arg... "
Baron dit : "En tout cas, il règne un silence de mort... "
Iryllia rouge : " J'te hais !"

Scène 11 : La découverte de baron dans les bois.

*Baroncrapo regarde les vêtements au sol et ramasse un bout de tissu*
Baron : "Vous êtes cons... ça fait crédible, un moine qui laisse un string en dentelle rose"
Iryllia hilare : "Hi hi hi ! J'm'adore "
Baron : "J'aurais du me douter que c'était de toi... "
*Baroncrapo met le string dans sa poche*
Iryllia : "Euh... tu me le rends ? "
Baron : "Ben non... Souvenir de guerre... "
*Iryllia met une droite à Baroncrapo et reprend son bien dans sa poche*
Iryllia : "Faudra te contenter d'une blessure de guerre... pervers... "

Scène 12 : Baron dans sa chambre...

*Baron pleure et se frotte les yeux avec son mouchoir...*
Baron hurle : "Pétard mais... qui a frotté un oignon sur mon mouchoir !"
Iryllia dit : "Le cuisinier fou qui s'fend l'oignon ?"
Baron Chouinne : " Saleté... "
Iryllia pouffe : "T'avais qu'à pleurer un peu mieux ma mort... Là, on voit que t'es vraiment triste...Hi hi hi !"

Bonus 2 : Les interviews.

L'interview du BaronCrapo ... et d'Iryllia

Le Monsieur demande : "Baroncrapo, bonjour. Vous avez un rôle assez important dans cette histoire, pourriez-vous me dire si vous vous sentez à la hauteur de l'interprétation ? "
Baron : " Bonsoir ! Voyez-vous, c'est en effet un rôle très difficile, la mort d'un être cher, et surtout être la vedette d'un RP, c'est un gros travail."
Le Monsieur demande : "Je croyais que vous aviez le second rôle ? Le premier étant celui de la princesse non ? "
Baron : "Oui, certains le comprennent ainsi, mais en fait, non, pas du tout, je suis bien le centre de l'intrigue !"
*Iryllia arrive comme de par hasard*
Iryllia : "Depuis quand un premier rôle pue ?"
Le Monsieur demande : "Bonjour princesse, je suis heureux de vous avoir, j'ai des questions à vous poser !"
Baron : "Attendez, mais là c'est mon interview !!!"
Iryllia : "Faîtes donc, j'y répondrai de mon mieux"
Baron : "Euh.... Et moi je fais quoi ?"
Le Monsieur demande : "Princesse, à l'issu de cette histoire, on peut penser clairement que vous êtes morte, est-ce réellement le cas ?"
Iryllia : "Oui, c'est évident, ma mort ne fait aucun doute. Revenir par un système tordu de résurrection est véritablement désuet, de nos jours."
Baron : "Ou alors en servante perverse zombie.... "
Le Monsieur demande : "Aucune chance qu'on vous recroise un jour ?"
Iryllia : "Non, je ne pense pas, peut être en songe chez certains invertébrés décérébrés mous de caleçons... *
Baron : " Sinon pour en revenir à mon rôle... "
Le Monsieur demande : " Vous n'avez pas peur que vos fans pleurent votre mort sur plusieurs générations ? Vous étiez quand même, tous camps confondus, la princesse la plus populaire et appréciée de tous en terre d'alidhan !"
Baron : " Moi je suis le baron le plus aimé... Mais on s'en fou, suis pas mort c'est ça ? "
Iryllia : " Vous me flattez, je n'étais pas une inconnue, mais je restai proche de tous. Beaucoup oublient que la gentillesse est une politesse. Je ne faisais qu'être moi."
Le Monsieur demande : " Durant le RP, avez-vous eu des scènes plus dures que les autres ? "
Iryllia dit : " Oui, toutes celles avec Baron... Certains hommes sont véritablement pénibles. Par chance, aucune scène de sexe comme il l'avait demandé à moultes reprises."
Baron : " Alors ça... C'est que ça collait très bien à l'histoire... On m'a même refusé le baiser final... "
Iryllia : " Il y a une une scène de baiser, coupée au montage, tous ceux qui l'avaient vu ont vomi "
Le Monsieur demande : "Cela fut sans conteste une épreuve pénible... "
Iryllia : "Et je ne vous parle pas des coups d'oeil en coin mal placé et des mains baladeuses... "
Baron : "Mais c'est absolument faux !!!"
Le Monsieur demande : "Oh vous, c'est bon, votre présence dans ce RP est déjà une atteinte au bon goût, merci de ne pas saloper mon interview !!"
*Baron se casse, la queue entre les jambes si vous me permettez l'expression.. *
Iryllia : " Mais vous vous prenez pour qui, à parler ainsi à mon ami ? "
*Iryllia met une bonne baffe aller et retour à "Le Monsieur demande"*
Le Monsieur demande : "Et dire que c'est que le début... "

L'interview du Sac Sanguignolant.

Le Monsieur demande : "Bonjour, comment décririez-vous votre rôle ? "
Le Sac Sanguignolant : "Je n'ai eu qu'un tout petit rôle, savez-vous. Mais j'y ai mis beaucoup d'émotions. Malheureusement, je n'apparais qu'au bêtisier. Voyez-vous, si j'ai été choisi en premier choix, n'est-ce-pas, ce n'est pas par hasard. Si vous saviez le nombre de rôles de sacs pleins, sacs vides parfois que j'ai eu dans ma carrière, vous comprendriez mieux l'implication romantico-dramatique que j'aurai pu apporter si un malheureux imbécile n'avait pas par mégarde égratigné mon... "
*Baron passant par là... *
Baron : "Non mais ça va oui ! Je ne l'ai pas fait exprès... c'est un accident... ça arrive aux plus grands.. Et puis... Tu sais ce qu'il te dit l'imbécile ? "
*Baron donne plusieurs coups de latte dans le sac*
*Iryllia voit et entend tout... *
Iryllia : "T'as dit quoi, toi, de mon ami ? "
*Iryllia saute sur le sac à pied joint*
Le Monsieur demande : "Je perd vraiment mon temps... "
*Le Monsieur demande fini le sac à coup de chaise... *

L'interview Du Guerrier Exilé :

Le monsieur demande : "Bonjour, vous avez un rôle important, votre combat risqué avec le Baron est une de mes scènes préférées, jusqu'au dernier moment, on peut penser que vous allez remporter ce combat. "
Guerrier Exilé : "Bonjour, oui en effet, la pauvreté de cette grotesque bataille avec le Baron, ce simulacre d'épisode qui aurait pu être en d'autres circonstances par ma victoire la clef de voûte de ce RP, n'est véritablement qu'un misèrable et anecdotique instant."
Le Monsieur demande : " Ah ? Je ne le voyais vraiment pas ainsi... Ce combat est fort réaliste et son suspens nous trifouille le palpitant !"
Guerrier Exilé : "Non mais sans blague, vu la crevette anémiée que j'avais en face de moi, elle est où la crédibilité de sa victoire ? Si encore on m'en avait mis une petite quinzaine en face de moi ! Non mais il est clair que si l'écriture de ce RP s'était voulu réaliste, le Baron, là... il mourait coupé en deux par mon épée comme un bout de beurre avec un fil en métal !
*Comme par hasard, le Baron passe dans le coin*
Baron : "Pti joueur ! Viens !!! Allez !!"
*Guerrier Exilé se lève....*
Baron : "Mince.. Je me souvenais pas que t'étais aussi grand à la répétition... T'as fait de la muscu depuis l'écriture ? Oh mince... j'avais pas vu l'heure... Faut que je sorte la chèvre !"
*Baron part sur la pointe des pieds avec une sacrée pointe de vitesse*
Iryllia : "Oh le grand tout bleu ... On demande avant d'embêter mon ami... C'est mon jouet, hein !"
*Iryllia explose le guerrier Exilé d'un unique coup...*

L'interview de l'Ecureuil qui a tout vu de loin.

Le Monsieur demande : "Bonsoir, vous représentez les animaux de la forêt, comment avez vous vécu ce drame ?"
L'écureuil : "Pour nous tous, ce fut un drame... Pour moi particulièrement"
le Monsieur demande : "Et pourquoi plus pour vous ? "
L'écureuil : "Le Baron... Autant il est puissant... Autant il ne maîtrise pas sa magie... Il a brûlé ma maison !"
Le monsieur demande : "Brûlé votre maison ? "
L'écureuil : "Oui ! Comme je vous le dis ! Une boule perdue.. Et Perdue où ? Paf l'appart de l'écureuil ! Ah ben, le temps que les assurances remboursent, je dors où moi ? Et je ne suis pas un cas isolé ! Le castor a vu sa hutte détruite par la chute de l'arbre où je logeais, seulement il y avait aussi quatre nids et deux terriers qui ont été soulevés, renard et lapin mis face à face, désarroi complet l'un saute à la gorge de l'autre, si Furet n'était pas intervenu renard y passait ! Foutu lapin !"
le Monsieur demande : "mais la production va rembourser les dégâts ? "
L'écureuil : "Non, aucune assurance n'a voulu couvrir les "exploits" du Baron, pensez donc, il n'a pas une réputation d'adresse qui le précède ! Nous n'avons même pas été prévenus du scénario ! Bien entendu, nous avons apprécié de voir la fin de la princesse, ce fut un honneur de la recontrer, j'ai même un autographe sous les poils de mon torse !"
Le Monsieur demande : "Moi, elle a refusé de me le faire sur le haut de la fesse... "
L'écureuil : "Pervers... Sachez aussi que tous les animaux de la forêt portent plainte dès aujourd'hui contre le Baron, nous sommes nombreux et demandons réparation !"
Le Monsieur Demande : "Dites... Je peux aussi vous aider ?"

=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

Bonus 3 : Les Scénarios refusés !

Baron dit : Coucou Iry !
Iryllia dit : Coucou Baron !
Baron dit : Alors tu souhaites mourir comment ? Accident, meurtre, acte héroïque ?
Iryllia dit : Accident c'est pas mal... T'as une idée ?
Baron dit : Hum... Oui ! Alors voilà : Suite au meurtre d'une moniale carteloise, tu poursuis un dangereux royaliste psychopathe et fétichiste de voile de none. Il se cache dans un atelier de maçonnerie. Là un combat épique ! Beaucoup de poussière de bois se soulève, sur le meuble un clou posé la pointe en l'air. Au moment ou tu envoies un sort de glace sur le malheureux, tu éternues, et en baissant violemment ta tête... vlan tu t'empales le crâne ! Mais le vil est mort aussi... alors ?
Iryllia dit : C'est nul....
Baron dit : Euh... Alors j'ai mieux ! Un vil exilé vient de voler une pauvre moniale, et voire, même, lui a fait des trucs peu avouables avant de l'attacher à demi- nue dans une étable les pieds couverts d'eau salée, livrée à un troupeau de chèvres. Il court avec son butin, tu le vois et comprends la situation, tu détaches la moniale à temps puis tu cours ! Tu finis par le rattraper près d'une falaise, hop combat épique ! Pendant le combat, la moniale revient, elle glisse et tombe avec le vil par dessus la falaise, là tu attaches la corde à tes pieds et à un rocher, et tu plonges pour la rattraper ! Mais la corde est trop courte, tes jambes se sectionnent à cause de la violence du saut et tu meurs noyée. Tes jambes restent suspendues à la corde, éternel souvenir pour les futures générations.
Iryllia dit : Les jambes, c'est avec les cuisses ou sans ?
Baron dit : Ben avec !
Iryllia dit : C'est nul... et crève !
Baron dit : Sinon t'as l'option "morte au cours d'une invasion" ?
Iryllia dit : Faut entendre...
Baron dit : Alors c'est très simple, une civilisation étrangère venue du ciel descend pour anéantir nos terres, et asservir nos moniales ! Ils arrivent sur de grands vaisseaux volants en métal (Pas l'admin la matière). Là, ils descendent, ils sont verts et pas bien grands avec de gros yeux. Ils commencent à capturer nos nones, c'est là qu'à toi toute seule, aidée par moi, je les supprime tous en quelques minutes... Et toi en voulant sauver leur cargaison, tu succombes sous leur rayon de la mort ! Mais t'aurais juste le temps de... Les sauver ! Puis je finis le travail en toute simplicité ! Seul contre mille !"
Iryllia dit : "C'est pas ma mort qui doit être héroïque ? Là... c'est juste que tu te la pètes.."
Baron : "Tu peux aussi mourir d'une maladie incurable !"
Iryllia : "c'est pas héroïque, ça... "
Baron : " Faut voir... Un vil t'agresse, tu te bats mais ils sont trop nombreux. Ils te violent et tu contractes une maladie incurable mais tu te venges avec tes dernières forces et moi à tes côtés"
Iryllia : " Euh... En clair on me file une MST et j'en crève ?"
Baron : "Oui... la Tourista et les hémorroïdes... ça se refile pas par un contact ? "
Iryllia : "Vu le nombre de fois où tu m'as touchée... Non... j'ai rien attrapé... "
Baron : " ... J'entends bien... Hum... Idée suivante : En plein combat contre le maître des moineaux, tu hurles pour lancer une boule de feu, seulement un piaf te rentre de plein fouet dans la bouche et hop morte !"
Iryllia : "Euh... laisse tomber je crois que je vais encore vivre... "
Baron : " Ah ? C'est chouette ça ! t'es sûre que .... J'avais aussi un truc super avec une tartine et des bêtes mi loup mi pieuvre mi escargot !"
*Iryllia a quitté la conversation*

=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

Bonus 4 : La scène coupée

Scène du baiser du vainqueur *clap*

Iryllia : "Je la sens pas trop cette scène... ça change rien en plus si on l'enlève !"
Baron : " Moi je la trouve intéressante...."
Iryllia : " Tu penses... Je l'aurais parié !"
Baron : " Non je veux dire un baiser espiègle qui laisse espérer plus... et PAN ! Rien... "
Iryllia : "Hum... Oui, vu sous cet angle... "
*Baron approche sa bouche, la bave aux lèvres*
Iryllia dégoutée : "Ah non vraiment en plus il refoule une drôle d'odeur... Ail et fumier !"
*Iryllia met le plat de sa main sur la chose en approche*
Iryllia : "Sérieux... Une poignée de main ? Ou soyons fous, une accolade ?"
Baron : "Non il faut vraiment que nos lèvres se touchent, l'unique fois avant ta mort !"
Iryllia : "Unique... Unique... T'es foutu de la refaire un millier de fois, la scène"
Baron : "Promis... Une seule prise !"
Iryllia : "J'vais en crever, c'est sûr. Bon alors, tu fermes les yeux !"
*Baron ferme les yeux et attend les lèvres tendues vers l'horizon*
*Iryllia s'approche hésitante puis fouille dans son décolleté et en sort un poulet fermier qu'elle approche coté pile de la bouche du baron*
Baron + cul de poulet : "Smoooouuuuuaaaaatch"
*Iryllia enfourne la pauvre bête à son ancienne place*
Baron heureux : "Waou... ça le fait... Tes lèvres sont... Et... Suis... Toi... Waou"
Iryllia : "Suis contente que ça t'ait plus ! Oh... T'as un peu de vert sur le coin de la bouche !"
Baron surpris : "Du vert ? ... Euh t'as du rose à lèvre.... .... .... ... Iry ... .... T'as fais quoi là ? "