une jeune moine cartelois qui airait seule depuis la nuit des temps au service de son alignement,
trouvais enfin une grande et belle demeure éclairée,
ce cachant le jours curant la nuit la lumière de ce château lui fit mal au yeux
mais la solitude lui étais trop pesante il voulais partager ces peur ,ses peine et ses joies qui elle étais si peut nombreuse
il s'aventurait vers cette lumière qui lui brulais le fond de la rétine
il connu que la froideur de la nuit depuis tend de temps
a quelque mettre de la porte d'entrer
la lumière si aveuglante lui fit cacher par une silhouette sur le pas de la porte
il peut ainsi reconnaitre ce blason si populaire dans les contré d'alidhan
le blason des vindicatrices
une peur envahis le pauvre moine
ce mettant a genoux pour prier et demander au dieux de l'aider a ne pas succomber a la tentation
lui qui pour avoir le dont de soins a du renoncer a tout pêcher de chaire
il priait pendant des heures et entrepris enfin de rentrer la fin la soif et le froids
mais le pire de tout la solitude le poussa a s'avancer devant la porte
une fois sur place le moine baissa le tête et demanda asile pour la nuit et un repas chaud
il fit semblant de ne pas reconnaitre la belle baronne intérimaire qu'il avait côtoyer si souvent
baisant la tête pour ne pas être reconnu il fit accueilli comme il ce doit
dégustant un repas digne d'un rois la fatigue se fit sentir une des meilleure chambre lui fit proposer
il prit les couloir comme si il étais habituer a cette demeure
et si elles savaient
il rentra dans la chambre et avant d'allumer la bougie posa ces maigre affaire sur le meuble prés de la fenêtre ouvris le lit
comme si il connaissait déjà les lieu
et si elles savaient
un parfum qui embaumait le châteaux luis ramena des souvenir enfouit depuis des nuit et des nuits
lui revins en tête
ces prières n avait pas été entendu
ces désir le plus bestial lui traversait la tête
elle étais la encore la
l'avait elle attendu il en doutais il s'enferma dans ça chambre pour ne pas être déranger mais sur tous pour ne pas te reconnu par ça dulcinée qu'il avait quitter pour une guerre qui n »'a jamais cesser
la nuit fut coute pour le moine
avant le lever du soleil il escalada la grille du château pour ne pas être surpris par l'une ou l'autre des occupante du château
il emporta avec luis le doux parfum de cette femme qu'il aimait tend
et repris ces habitude de courir auprès de ceux qui avait besoins de ses soins si précieux pendant les batailles de ce monde sans pitié