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 Kempashi, son passé de sa naissance jusquà ce jour.

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Kempashi Zaraki
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Kempashi Zaraki


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Kempashi, son passé de sa naissance jusquà ce jour. Empty
MessageSujet: Kempashi, son passé de sa naissance jusquà ce jour.   Kempashi, son passé de sa naissance jusquà ce jour. EmptyLun 12 Jan - 11:15

Bonjour à vous qui lirez ces lignes dans le futur, je me nome Zaraki, Kempashi Zaraki, combattant de l’ordre des Vindicatrices.

Il y avait longtemps que j’avais envie d’écrire ce que j’ai vécu mais n’en avait jamais trouvé le temps, je profite de celui qui m’est donné pour le faire, en espérant que cela pourra servir à la fois d’enseignement aux plus jeunes et peut être même d’histoire à conter si vous trouvez en mes écrits un intérêt.

Mes premiers souvenirs remontent à l’époque des mes trois ans. Mes parents, deux formidables guerriers étaient là, heureux de voir que leur enfant bien qu’un peu chétif essayait de les copier.

Ma mère était une manieuse de sabre. Elle se nommait Mina, était belle comme le jour et dotée d’une agilité que peu arrivaient à atteindre. Ses armes tenaient à la fois de la rapière et des sabres. À la fois tranchantes comme des rasoirs et effilées comme des aiguilles. Elles avaient été forgée par mon père, un forgeron doté d’une force hors du commun et qui aimait tendrement sa femme et son fils.

Ma mère se battait avec un tel acharnement qu’on l’avait surnommée la panthère noire, car lorsqu’on se rendait compte de sa présence, il était en général trop tard.

Pourtant, aussi loin que je me souvienne, jamais elle ne s’en est prise à moi.

Elle avait surnommé ses armes Thunder et Bold.

Mon père se nommait Arhum, il était forgeron mais également un guerrier armé d’une hache d’arme tellement lourde que lui seul pouvait s’en servir. Il était connu pour la qualité de ses armes et équipements. Il avait créé la cabane où nous vivions et nous étions très heureux, la vie était simple.

Chaque jour, je copiais les mouvements que ma mère effectuait en guise d’entraînement, et les continuant plusieurs heures durant, mais avec deux bâtons et le soir, j’allais à la forge pour aider mon père, j’étais loin d’avoir son talent mais j’aimais travailler le fer pour en faire de l’acier.

Ma force et mon agilité s’accroissaient rapidement et pour se faire, j’avais confectionnait moi même des brassards et des chevillères d’aciers que je portais tout le temps, en augmentant de plus en plus la masse de ces pièces cela améliorait de plus en plus mes capacités.

À l’age de 11ans, j’ai appris à combattre des adversaires vivants et réels, en commençant par ma mère. Elle était étonnée que j’ai appris à combattre comme elle le faisait sans aide extérieure. Je n’avais pas son expérience mais pour la vitesse et l’agilité, je faisais jeu égal, ma force était supérieure à la sienne mais mon endurance n’arrivait pas à la cheville de la sienne.

Après quelques semaines d’entraînement au bâton, ma mère me permit de combattre avec ses armes fétiches, elle m’avait expliqué que c’était le seul moyen de devenir plus endurant et plus fort encore, elle espérait de moi que je devienne à la fois supérieure à elle et supérieur à mon père.

Après 5 ans passé à la forge trois heures par jours, six jours par semaines, j’étais capable de forger des armes d’une qualité pratiquement équivalente à celle de mon père mais je n’étais pas capable de les améliorer comme lui le faisait.

À mes douze ans, il me prit avec lui dans les montagnes. Il voulait voir jusqu’à quel point j’étais devenu fort, et pour cela, il me proposait un défi comme lui même en avait relevé dans sa jeunesse.

Le défi en lui même n’avait rien de compliqué : je devais trouver et vaincre un ours ténébreux, l’attrape était que je devais le faire à main nue et que je devais le laisser porter la première attaque. Pour cette épreuve, je retirais mes brassards et chevillères, qui pesaient à eux tous presque 40 kilos.

Je n’ai pas eu à chercher longtemps après ma proie, ou plutôt devrais-je dire que c’était moi le gibier. Sans les jeunes arbres qui m’entouraient, je n’aurai pas eu conscience de son approche.

Je lui ai fait face, comme me l’avait demandé mon père et toujours selon sa demande, je laissais la bête porter le premier coup. J’ai eu l’impression d’avoir arrêté une masse avec ma poitrine, j’avais le souffle coupé et une violente douleur me fis hurler. La bête, sure de sa victoire se rua sur moi gueule ouverte. D’un geste inconscient, je portais un violent coup de poing sur le crâne du monstre, qui recula et secoua sa tête. Le second coup le fit franchement reculer, au troisième, il s’effondra, mort sous le choc. Je tirais la bête jusqu’à l’endroit où papa m’attendais. Il regarda la bête avec un grand sourire, puis me serra dans ses bras, c’était la première fois qu’il me serrait à se point, j’eu l’impression d’être pris dans un étau.

Lorsque nous sommes retourné à la maison, il de fit cadeau de nouveaux poids qui montaient à 55kg et me dit que dès le lendemain, il allait s’occuper de mon entraînement.

Ce qui fut dit fut fait, et le lendemain à l’aube il me sorti du lit. Mon entraînement était simple : je devais apprendre à me battre avec sa hache, que j’arrivais à présent à soulever et à utiliser de façon très rudimentaire.

Pendant plus de deux ans, il s’est acharné sur moi, accroissant mes poids chaque mois. À mes 14 ans, je maniais son arme presque aussi bien que lui. Pourquoi presque ? Par ce que j’avais tendance à chercher plus la précision que la puissance dans mes attaques, ce qui enchanté quand même papa et qui faisait sourire maman, qui disait que si je continuais comme cela, ni elle ni papa ne me tiendraient tête encore très longtemps.

À ce moment là, je me baladais jour et nuit avec 115kg sur le dos.

Alors que la guerre éclatait, papa et maman me parlèrent du fait qu’ils allaient aller protéger les villageois contre l’envahisseur et que je devait rester là, quoi qu’il se passe.

Avant de partir, papa me remis des brassards et des chevillères très particuliers : en effet, bien qu’ils ne pèsent rien, ils allaient limiter ma force, ma vitesse, mon endurance et mon agilité. Il ajouta que jamais je ne devrais les retirer sauf pour protéger quelqu’un qui m’étais cher.

Maman quand à elle me fis cadeau de ses armes, alors que je savais très bien qu’elle tenait à ses armes comme à moi. Elle me dit que je les lui rendrai au moment ou elle reviendrait et que d’ici là je devais en prendre soin.

Pendant plusieurs jours, j’ai attendu le retour de mes parents mais après la première semaine, je n’ai plus tenu et je suis parti les rejoindre. En route, j’ai repoussé les asseaux de faibles créatures qui tentaient de me barrer la route. Au troisième jour de voyage, j’atteins enfin la ville de Cyrosh que mes parents protégeaient.

Je plongeais dans le combat avec un plaisir immense, sur de mes aptitudes et du fait que jamais mes parents ne laisseraient personne s’en prendre à moi. Sur ce point là, j’avais raison.

Alors que les dernières troupes ennemies se jetaient dans la bataille, je fus prit en tenaille et était donc incapable de repousser tout les asseaux. Alors que je voyais la mort arriver, plusieurs têtes tombèrent en même temps. Mes parents m’avaient sauvé mais se faisant, ils s’étaient mis en danger. Alors que les derniers soldats adverses se mourraient, mes parents sont tombé, mortellement blessés. Ma mère avait une flèche plantée dans le cœur, pourtant elle me souriait et me dit de garder ses armes, d’en faire bon usage. Mon père avait eu plus de chance, il était blessé et son arme brisée, mais il était vivant, je l’emmenais en ville pour qu’on l’y soigne mais les soigneurs ne pouvaient rien faire pour lui, il était condamné.

Pendant ses derniers jours, il me remit un livre où se trouvait un code d’honneur. Il me dit que ce code d’honneur était celui que suivaient les chevaliers et que je devais l’apprendre et l’appliquer à la lettre. Il me dit promettre de surtout obéir à un point : je ne devrais jamais faire de mal à une dame et tout mettre en œuvre pour protéger les dames, qu’elles soient amies ou pas. Je le lui promis et passais tout mon temps à son chevet mais les soigneurs avaient vu juste : malgré toute sa robustesse mon père n’a pas survécu à ses blessures. J’ai emmené les corps de mes parents à la cabane où nous avions vécu et les y enterrait puis pour être sur que personne ne profanerai jamais ces terres, je fis tout brûler, en me jurant que jamais plus personne n’aurai à souffrir de mes erreurs.

Pendant bien des années j’ai fuit les humains pour me perfectionner dans l’art de la guerre et un jour je suis arrivé chez les exilés. J’y suis resté un long moment, pensant y avoir trouvé des amis et un jour…

Alors que je me rendais à Cyrosh afin de voir la ville pour laquelle mes parents étaient morts, j’ai du livrer bataille avec le garde, car je n’étais pas le bienvenu ici. Mais ce n’est pas le garde qui eu raison de moi, c’était une jeune femme. Elle avait incanté une boule de feu que je n’ai pas vu venir qui eu raison de moi, sans l’aide des dieux je ne serai plus là pour en parler d’ailleurs, fou d’inquiétude pour ma compagne d’infortune, j’envoyais une missive à la dame en question qui, je l’appris alors, se nommait Azhure. Dans cette missive je lui demandais humblement d’épargner la vie de la moniale qui était avec moi, ce qu’elle fit.

J’ai gardé contact avec elle et de plus en plus m’attachait à elle au point qu’un jour, je décidais de rejoindre les Cartelois où je fus accueilli par elle. Elle me dit entre en contact avec les membres de sa guildes et m’y accepta comme si j’avais toujours été Cartelois.

Je pense ne jamais l’avoir remerciée pour cela et pourtant je lui dois beaucoup car j’ai rencontré des gens qui n’ont pas vu en moi qu’un être qui pouvait être utilisé pour la guerre mais quelqu’un qui avait un cœur.

La seule façon pour moi de les remercier tous est à présent de mettre ma vie en jeu afin de m’assurer que jamais aucun d’eux ne serai blessé et je ferai tout pour qu’ils n’aient jamais à regretter leur geste et jamais je n’ai dérogé au dernier souhait de mon père.

J’espère que cela continuera que tout se passera pour le mieux, car je ne supporterai plus de perdre des êtres qui me sont cher.
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